Une pétition vient d'être lancée sur le Net. Elle prétend imposer au gouvernement (attention, c'est compliqué) de renoncer à ne pas renoncer à bloquer les salaires pharamineux, et toujours en fulgurante augmentation, des Grands Patrons français. En particulier ceux du CAC40. Ces augmentations sont d'autant plus révoltantes, que l'on peut chercher parmi eux les vrais entrepreneurs qui ont, par un travail intelligent et productif, créé ou développé leur propre outil. Non, ce ne sont que de vagues gestionnaires, arrivés là par cooptation, par nomination, au hasard, et ne sachant même pas vraiment ce que font les personnes sous leurs ordres.
On peut douer de l'efficacité de cette pétition. Il faudrait sans doute que vingt millions de personnes la signent pour que la tête de l'État s'en émeuve un peu. Les chances d'obtenir un tel succès sont infimes. D'autant que c'est sur Avaaz, le support international, que cette action a été lancée. Avaaz, qui par commodité ne prend même pas la peine de vérifier la véracité des adresses des signataires par un système de confirmation (elle n'est pas la seule, c'est vrai). Mais il y a plus ennuyeux.
Effectivement Avaaz est (indirectement bien sûr) financée par la CIA.Les indices abondent sur la Toile. Donc celle-ci peut certainement bénéficier des fichiers des signataires. Je ne comprends pas comment des pétitions peuvent encore se lancer sur ce support. D'ailleurs, QUI les lance ?
Compte tenu de tous les renoncements en cascade des projets utiles du gouvernement (ils sont pourtant rares), c'est ce gouvernement lui-même, et le président qui l'inspire, qu'il faut virer. Hollande est aussi coupable envers les citoyens, que le furent en leur temps Jean Monnet et Robert Schuman, "pères" de l'Europe sous l'égide de leur mentor... le lobby financier US. La personnalisation du régime (c'est le mot qui convient), instituée par un De Gaulle patriote et désintéressé, terriblement accentuée depuis, fait que désormais pour changer de politique, c'est le locataire du 55 rue du Faubourg qu'il faut contraindre à partir.
Eh bien qu'il parte ! Et que le plus vite possible une vraie pétition citoyenne l'y contraigne. Curieusement dans l'opposition, personne ne semble s'y être risqué encore, alors que son avance aux élections n'a été obtenue que grâce aux voix de la vraie Gauche, alors que si l'on en croit les sondages sa cote est... hum... pas terrible. On ne veut plus de lui, mais personne n'ose vraiment le dire. Pourquoi ? Il y a urgence, toujours plus d'urgence.
Une piste : la Gauche ne serait-elle pas prête pour le grand saut, et pour appliquer son programme ? Insuffisant comme je l'ai déjà souligné, il est tout de même plus bénéfique pour l'ensemble de la nation et de nos concitoyens que cette position de carpette vis-à-vis de Bruxelles, de Francfort et de Berlin, voire de Washington.
Compte tenu de tous les renoncements en cascade des projets utiles du gouvernement (ils sont pourtant rares), c'est ce gouvernement lui-même, et le président qui l'inspire, qu'il faut virer. Hollande est aussi coupable envers les citoyens, que le furent en leur temps Jean Monnet et Robert Schuman, "pères" de l'Europe sous l'égide de leur mentor... le lobby financier US. La personnalisation du régime (c'est le mot qui convient), instituée par un De Gaulle patriote et désintéressé, terriblement accentuée depuis, fait que désormais pour changer de politique, c'est le locataire du 55 rue du Faubourg qu'il faut contraindre à partir.
Eh bien qu'il parte ! Et que le plus vite possible une vraie pétition citoyenne l'y contraigne. Curieusement dans l'opposition, personne ne semble s'y être risqué encore, alors que son avance aux élections n'a été obtenue que grâce aux voix de la vraie Gauche, alors que si l'on en croit les sondages sa cote est... hum... pas terrible. On ne veut plus de lui, mais personne n'ose vraiment le dire. Pourquoi ? Il y a urgence, toujours plus d'urgence.
Une piste : la Gauche ne serait-elle pas prête pour le grand saut, et pour appliquer son programme ? Insuffisant comme je l'ai déjà souligné, il est tout de même plus bénéfique pour l'ensemble de la nation et de nos concitoyens que cette position de carpette vis-à-vis de Bruxelles, de Francfort et de Berlin, voire de Washington.
Si nous le voulons, le changement, c'est maintenant.