France 24 a réputation d’être une radio pro-sioniste.
Et c’est France 24 que Merah, le moudjahidin, a choisi pour faire ses confidences.
Logique.
Tirez l’échelle.
Vous êtes mort, M. Sarko.
Trop de questions. Trop de soupçons. Un de trop. Énorme.
Hé oui, Il y a des coups de bluff qui sont fatals à ceux qui les tentent.
Acculé à la défaite par une présidence catastrophique, par une haine
nationale jamais vue, par des sondages qui, bien que faits par des amis,
ne peuvent cacher une prochaine déroute, acculé surtout par la montée
irrésistible d’un candidat inattendu et la découverte de documents
accablants, Sarkozy qui dispose de toute l’armada de l’Etat , services
secrets, polices spéciales, a sorti ses cartes favorites : l’insécurité,
le terrorisme, et plus encore l’atout au nom terrifiant : Al Qaïda !
Mais les circonstances de cette folle et morbide semaine, qui
commence d’ailleurs un 11 mars, il y a des numérologues dans la bande,
ont été telles que les pires soupçons voient aussitôt le jour.
La DCRI est soupçonnée d’avoir utilisé M.Merah comme indicateur et
de, peut-être, l’avoir armé, ou de, peut-être ,lui, innocent de tout
crime, l‘avoir bunkérisé dans son appartement et tué.
Quelle est la République où ces questions se posent et n’ont pas de réponse ?
Il y a tout d’abord des invraisemblances :
- Des témoins ont vu un homme corpulent ; pour d’autres il a des
yeux bleus, visage blanc, tatouage sous l’œil. Pas trop le portrait de
Merah. Mais bon, admettons. Sur le coup de l’émotion on peut confondre
Laurel et Hardy.
- Plus encore sa biographie récitée par « le squale Squarcini » est contredite par d’autres sources.
Squarcini nous apprend, n’omettant aucun détail, que Ghulma Faruq,
directeur des prisons de Kandahar, s’appuyant sur des documents
pénitenciers, a déclaré à Reuters que Mohamed Merah avait été arrêté le
19 décembre 2007 et condamné à trois ans de prison, avant de s’enfuir à
la faveur d’une opération commando menée en juin 2008 par des talibans.
Mais ce n’est pas l’avis de tout le monde.
Le bureau du gouverneur de Kandahar juge "sans fondement" cette
version, s’appuyant notamment sur des rapports judiciaires."Les forces
de sécurité de Kandahar n’ont jamais détenu un citoyen français qui
répond au nom de Mohamed Merah", déclare Ahmad Jawed Faisal,
porte-parole du gouverneur.
Plus encore, l’avocat français de Merah, Christian Ételin, a déclaré
que son client avait été emprisonné en France de décembre 2007 à
septembre 2009 après une condamnation pour vol avec violences. Il ne
pouvait donc pas, selon lui, se trouver à la prison de Kandahar pendant
ce laps de temps.
Qui croire ?
Autres questions :
- Comment se fait-il que deux coups de feu solitaires aient été entendus dans la nuit, aucune explication n’ayant été donnée ?
- Comment se fait-il qu’un homme criblé de balles ait quand même pu
courir et se jeter d’un balcon dans un élan et une souplesse sans
défaut ?
Est-on complotiste en posant ces questions ? Alors, il faut que la
presse étrangère le soit, toute la presse, et le ministre des Affaires Étrangères chinois qui pense à une manipulation et M. Poutine qui
demande, en tant que spécialiste de la bonne tenue des élections, qu’il y
ait des observateurs en France !
Il y en aura . Ne craignez rien M. Poutine. Dans tous les bureaux de vote.
Nous n’aurons jamais, sans doute de réponse à ces questions.
Pourtant d’autres faits en posent une nouvelle qui me paraît très grave et sans appel.
C’est à France 24, donc, à la rédactrice en chef Ebba Kalondo, que le criminel téléphone pour faire ses aveux.
- Pourquoi à vous ? demande le présentateur de Canal plus .
- Parce que nous sommes encore en ligne à une heure du matin et nous parlons trois langues, français , anglais, arabe.
Voici deux interviews de cette journaliste.
Notons que Merah ne s’est jamais présenté et que sur la première interview elle précise bien ce fait.
Or France 24 a réputation d’être une antenne favorable à Israël.
Je cite à ce sujet un article très intéressant de la bloggeuse Eva R-Sistons.
http://r-sistons.over-blog.com/ Elle revient à la nomination, en 2008, de Christine Ockrent, compagne de Bernard Kouchner. En voici quelques extraits :
« Imperceptiblement, France 24 et RFI furent en passe de devenir des
auxiliaires des services de propagande israéliens. Le mercredi 20
février 2008, l’Elysée annonça le choix d’Alain de Pouzilhac comme
président de France Monde, structure voulue par le président Nicolas
Sarkozy, censée concrétiser la recomposition de l’audiovisuel public
extérieur français. Elle « coiffait » France 24, Radio France
Internationale (RFI) et TV5 Monde. Dans la foulée, Christine Ockrent
était nommée directrice générale de cette nouvelle société (Renon,
2008). Elle en devenait virtuellement la n°2, ce qui suscita des remous
immédiats au sein des rédactions car Mme Ockrent était l’épouse de
Bernard Kouchner, un ardent pro-sioniste. Les médias français qu’elle
était censée coiffer, traitant prioritairement de l’actualité
internationale, voyaient d’un mauvais œil le risque d’un
assujettissement pur et simple au quai d’Orsay. Les syndicats et comités
d’entreprise (CE) de TV5 Monde et de RFI se réunirent en assemblée
générale (AG) le jeudi 21 février 2008 au siège de TV5 Monde en
s’insurgeant contre la nomination du tandem Alain de Pouzilhac-Christine
Ockrent à la tête du groupe. Les comités d’entreprise et les
intersyndicales de RFI et TV5 Monde dénoncèrent un « passage en force »,
et l’« attitude unilatérale et ‘‘monarchiste’’ du palais de
l’Elysée. ».
Quant à Christine Ockrent, la Société des journalistes (SDJ) de RFI
« dénonça le principe de cette nomination ». Le choix de cette
journaliste « pose un grave problème d’image et de crédibilité de
contenu de l’audiovisuel extérieur. », juge Alain Girard, du SNJ, qui
s’inquièta d’un « conflit d’intérêts ».
A ce titre, son mari ne supporta pas les questions se rapportant à
la nomination de sa compagne. Nougayrède, une journaliste, questionnant
Kouchner à ce sujet, celui-ci se fâcha tout rouge et il s’ensuivit un
accrochage extrêmement violent.
Par ailleurs, les inquiétudes des syndicats ne tardèrent pas à être
fondées. En effet, le duo Christine Ockrent-Alain de Pouzilhac opéra des
purges au sein de la rédaction avec une férocité et des méthodes dignes
des Etats totalitaires. Ces purges s’expliquent par une ligne
directrice à savoir que la critique d’Israël était tabou. Il s’agirait,
ni plus ni moins, d’imposer une lecture néo-conservatrice, américaine ou
israélienne, des crises proche-orientales. Avoir une lecture
pro-palestinienne ou pro-arabe ne serait plus permis. N’oublions pas que
Kouchner avait toujours été un fervent adhérent du parti socialiste et
que sa nomination comme ministre des Affaires étrangères au sein d’un
gouvernement de droite en avait intrigué plus d’un. En fait, Kouchner
(comme son homologue Strauss Kahn) n’avait qu’une seule et véritable
préoccupation : être au service d’Israël
.
Or Israël a besoin, pour poursuivre en toute impunité sa politique
colonialiste et agressive, de contrôler les ministères des affaires
étrangères des pays les plus influents du monde. Il le fait
remarquablement en plaçant notamment les membres sionistes à travers ses
lobbies locaux, aux plus hauts sommets de l’Etat, surtout les postes
clés comme les finances, les Affaires étrangères, les ministères de
l’Intérieur ou de la Défense. C’est ce qui se fait traditionnellement
aux Etats-Unis où le département d’Etat a toujours été aux mains de
pro-israéliens. Depuis Kissinger jusqu’à Madeleine Albright, on estime
que 80% des hauts dignitaires de l’Administration du département d’Etat
sont des sionistes, juifs ou non (comme Condoleezza Rice).
Cette politique avait déjà cours en 2004. Ménargues , ancien grand
reporter, directeur général adjoint chargé de l’information et des
antennes de RFI,vice-président de RMC
Moyen-Orient, a démissionné le lundi 18 octobre 2004 sous la pression
des journalistes de RFI parce qu’il avait osé dire lors d’un entretien
sur une radio française (Radio Courtoisie) que l’Etat d’Israël était un
Etat raciste ; propos qu’il avait maintenus sur la chaîne LCI. Propos
repris lors de la présentation de son dernier livre, « Le mur de
Sharon », coédité par France Inter devant le Centre d’accueil de la
presse étrangère (CAPE) à la maison de Radio France. Ce qui démontre
indirectement le poids du point de vue israélien au sein de la
communauté journalistique française, mais aussi et surtout au sein de la
classe politique française (
http://www.lemague.net/).
Rappelons que les déjeuners du CRIF font accourir le gouvernement au
complet et malheur à celui qui n’y est pas invité !
Christine Ockrent, directrice générale de l’audiovisuel extérieur de la
France, est soupçonnée (c’est le moins qu’on puisse dire !) d’être
derrière le limogeage coup sur coup de deux prestigieux journalistes,
lauréats du prix Albert Londres, Grégoire Deniau (directeur de
l’information de France 24) et Bertrand Coq (rédacteur en chef) en
septembre 2008. Le motif invoqué pour le licenciement du premier est
pour le moins vague et serait lié « à son comportement dans
l’encadrement des équipes ».
Quant à Deniau le motif est cette fois plus précis : on lui reproche
l’organisation sur l’antenne de France 24 d’un débat sur les théories du
complot autour du 11 septembre. La direction a estimé que cette
émission n’aurait pas dû avoir lieu sur France 24 et que Grégoire Deniau
avait outrepassé cet avis. Deniau se serait opposé à ce débat, mais son
ordre se serait dilué dans la chaîne hiérarchique si bien que ce débat a
finalement eu lieu. Deniau plaide l’innocence. Il est intéressant de
remarquer que l’émission sur le 11 septembre fut animée par Sylvain
Attal. Ce journaliste, animateur vedette des débats impliquant des
musulmans, est un pro-israélien militant. Il suffit de lire ce passage
sur son blog pour s’en convaincre : « On peut même ajouter que le Hamas
est une organisation de type fasciste, qui s’est emparé du pouvoir à
Gaza par un putsch, n’y tolère aucune opposition et que dans ses
mosquées on y répand une idéologie de haine antisémite que les nazis
n’auraient pas reniée. »
Deux licenciements en deux jours font réagir et la rédaction de
France 24 se soulève. Des pétitions circulent en faveur des deux
limogés.
Autre victime : Richard Labévière, journaliste à RFI et auteur de
plusieurs ouvrages sur le Proche-Orient : Les Dollars de la terreur
(1999), Bethléem en Palestine (avec Pierre Péan, 2000), Oussama Ben
Laden (2002) et Le grand retournement (2006).
On lui doit aussi
d’avoir participé à la rédaction du Dictionnaire de l’islamisme et, plus
récemment, d’avoir co-écrit avec le philosophe Bruno Jeanmart un
« Bernard-Henri Lévy ou La règle du Je » (2007) par dérision à un des
livres de BHL, La règle du jeu. Il y démontait la « double imposture :
philosophique et journalistique » que représente selon lui BHL. « Il
s’agit de démonter, note son éditeur, les bouffonneries qu’il fait
passer pour de la philosophie et du journalisme, avec l’aide des médias
et de la grande édition qui sont les chiens de garde de l’idéologie la
plus réactionnaire. » Labèvière présente BHL comme un « serviteur de
l’empire américain et du libéralisme mondialisé, ego médiatique vide et
surdimensionné ». Or, BHL est l’un des plus éminents gardiens du temple
du lobby israélien. A titre d’éditorialiste, grand reporter, rédacteur
en chef et animateur de l’émission « Géopolitique », Richard Labévière
couvre depuis longtemps pour RFI l’actualité du Proche-Orient, dont
notamment le conflit israélo-palestinien. S’en tenant à une ligne de
conduite se voulant aussi objective que possible, il vient purement et
simplement d’être licencié de Radio France Internationale pour « faute
grave » au motif qu’il n’aurait pas demandé la permission de sa
direction pour faire une interview de Bachar al Assad le 8 juillet
dernier juste avant l’arrivée du président syrien en France en visite
officielle (l’interview incriminée est en ligne sur le site de TV5 Monde
(4).
Richard Labévière n’accepte pas ce licenciement qu’il juge abusif,
d’autant qu’il semble avoir été décidé arbitrairement par Alain
Pouzilhac sans même la tenue normale d’un conseil de discipline. Pour le
journaliste, qui a déjà été écarté de certaines de ses fonctions à RFI
après avoir soutenu son collègue Alain Ménargues, auteur de deux livres
anti-israéliens (Les Secrets de la guerre du Liban et Le Mur de Sharon)
est contraint du coup à la démission sur ordre de l’ambassadeur d’Israël
en France ! Il s’agit ni plus ni moins d’un « licenciement politique »
pour « délit d’opinion ».
Dans une vidéo diffusée sur internet, Richard Labévière dénonce
l’actuelle « Orwellisation de la presse française ainsi que « la volonté
d’imposer une lecture unique néo-conservatrice et inconditionnellement
pro-Israélienne des crises et des relations internationales ».
« Défendre la liberté d’expression et les droits de l’homme face à
leurs violations caractérisées en Chine ou ailleurs, c’est bien, à
condition de s’appliquer à soi-même ces beaux principes, ajoute-t-il.
Même si cela n’a vraisemblablement aucun rapport avec son
licenciement estival, souvenons-nous aussi que Richard Labévière est
l’un des deux journalistes (avec Alexandra Richard du Figaro) à avoir
rapporté la présence d’Oussama Ben Laden à l’hôpital américain de Dubaï
du 4 au 14 juillet 2001, deux mois seulement avant les attentats du 11
septembre, et sa rencontre, le 12 juillet, avec le chef d’antenne local
de la CIA.
Dans son livre, Richard Labévière parvient à une conclusion : AI
Qaïda n’existe pas. « Le terrorisme ne relève pas d’une organisation
mondiale, mais d’une nébuleuse de réseaux qui s’enracinent localement,
dans les économies les plus inégalitaires et les régimes politiques les
plus arbitraires. Pourtant, la mythologie Ben Laden continue. Pour
survivre, l’Empire à besoin d’un ennemi et de faire la guerre : une
guerre sans fin. »
Bien, vous allez me dire : Cela date de quelques années et l’ambiance
a peut-être changé. Comme l’histoire n’a pas changé, cela serait
étonnant. La preuve suit. Découvrons une anecdote qui laisse rêveur.
Cela se passe le 8 juin 2011. France 24 fait passer une interview de
Lamia Chakkour, ambassadrice de Syrie en France qui contacte France 24
pour dire qu’elle démissionne de sa fonction. Malheureusement pour la
chaîne, il s’agit d’un hoax. Ce n’est pas Lamia Chakkour au téléphone,
celle-ci, en personne, avec une voix différente démentant cette mise-en
scène et parlant de porter l’affaire en justice pour désinformation.
Est-ce une habitude chez France 24 d’ouvrir l’antenne à de fausses interviews ? Qui l’a fait une fois. C’est une fois de trop.
Comment cette chaîne, dans une affaire pareille, pourrait-elle être crédible ?
Je pense à ceux qui, tous les matins, se réveillent dans le vide et l’horreur absolue, privés de leurs amours.
Quelle haine au cœur j’aurai si mon mari, ou mes enfants avaient été
les victimes de ces crimes qui baignent dans une politique
machiavélique. Dans un méli-mélo de cette phobie israélo-américaine qui
veut que le terrorisme et l’Islamisme, après le communisme, soit
l’éternel ennemi dont ils ont besoin pour survivre. Qu’il y ait des
terroristes, nous n’en doutons pas, mais qui les a fait naître ? Qui les
a inventés ? Qui les engage à travers les nouvelles guerres Libyennes
ou Syriennes ?
En ce qui concerne les meurtres de Toulouse et de Montauban, il y a trop de questions pour qu’il n’y ait pas de contre-enquête.
Une dernière anecdote m’a donné la nausée.
Sur Propaganda 2, on interroge un professeur qui a participé à la
minute de silence, y semble tout à fait favorable, et explique ensuite
qu’il a pu répondre aux questions des enfants et expliquer, par exemple,
ce qu’était qu’un moudjahidin !!!!
Qu’est-ce qu’un moudjahidin ?
Que faut-il expliquer à nos enfants ?
Que ce sont des créatures de la CIA formées par Brezinski qui s’est
appuyé sur les Islamistes d’URSS pour abattre cet ennemi en
Afghanistan ?
Que les enfants juifs tués méritent toutes nos larmes comme les enfants de Gaza ?
Que Catherine Ashton pour avoir fait ce rapprochement a soulevé un tollé universel ?
Doit-on dire à nos enfants que nos soldats qui meurent en Afghanistan
le font pour surveiller des pipe-lines et des cultures de pavot ?
Que doit-on apprendre à nos enfants de ce monde bipolaire qui fait
les affaires des marchands d’armes et des financiers lesquels veulent
que leurs marionnettes politiques restent en place ?
A n’importe quel prix ?
Plus personne n’est dupe M . Sarkozy.
Le grand vent d’internet est passé par là.
Vous êtes condamné à l’échec et à répondre de vos actes devant la justice.
On n’a pour vous que détachement et dégoût.
Il y a actuellement en France une nouvelle puissance politique qui en
train de naître, qui éveille toutes les consciences, quel que soit leur
parti : elle parle d’amour et non plus de haine ; de respect de la vie
et non de profit. D’égalité et non d’exploitation des faibles par les
lâches.
Vous ne la ferez plus taire.
Ces mots « terrorisme, al Qaeda », vieilles rengaines , elle ne veut plus les entendre.
Résistance ! Place au peuple ! Liberté ! Égalité ! Fraternité voilà les mots qui désormais la soulèvent !
Vous avez perdu.
Je finis sur deux vidéos : sur la première, et ce n’est pas un fake,
un militant qui sort du meeting de Sarkozy à Strasbourg explique
pourquoi il votera Mélenchon.
Sur la seconde, très émouvante, très juste, un vieux juif explique
devant Ahmadinejad la différence entre juifs et sionistes. Puisse la
paix qui se dégage de ces paroles atteindre le monde entier.
Ensuite une prière :
Je voudrais appeler à la vérité de l’honneur des soldats ou des chefs
du raid qui ont mené l’assaut de Toulouse au risque de leur vie. Ne
défendez pas ce pouvoir corrompu. Parlez. Dites ce que vous savez sur
cet assaut. Qui que vous soyez. Dénoncez ce qui s’est passé.
Pour l’honneur et la sauvegarde de la France. N’est-ce pas votre engagement ?
Allez-vous attendre que l’on vous donne l’ordre de tirer sur nous ?
Ariane Walter