Rechercher dans ce blog

mercredi 30 avril 2014

De l'humour aux persécutions, des Dragonnades au déni de Nantes

Le 29 avril un procès avait lieu, un de plus.... (oui, c'est bien le 29)




Ce sera à chacun de juger..... pour ma part, j'avoue avoir du mal à admettre que le pays de Mirabeau et de Gambetta se retrouve englué dans des situations dignes des Dragonnades, pour le MOINS : le peuple s'est éduqué bien mieux depuis, pourtant toujours les mêmes coteries qu'au temps de la Ligue se font fortes de diriger un pays entier, voire bien plus, selon LEURS volontés néfastes.

Non, si je comprends bien, ce ne sont pas quelques "quenelles" anti- $¥$T€M€, requalifiées autrement par des haineux que cela arrange ainsi, qui dérangent ceux-là : il s'agit tout simplement d'une opposition politique, qui pour eux est inadmissible. Seul LEUR dessein a droit de cité, et ce dessein se résume à la dictature de quelques banquiers (une poignée, pas plus) sur le monde entier.

Les moyens paraissent détournés, les procédures s'efforcent de se cacher derrière des paravents depuis longtemps percés à jour, mais les réflexions aboutissent toujours aux mêmes conclusions. Pour couronner celles-ci, les menaces voilées font savoir que TOUS les moyens seront bons pour que cette ploutocratie mondiale conserve l'avantage.




Le déni de la Justice nantaise par une haute juridiction aux ordres, le 9 janvier, a sonné le glas de l'échafaudage du Droit. Déjà le législatif s'était totalement compromis le 4 février 2008. Que reste-t-il ? Nous autres le Peuple. Certes, quelqu'un n'avait-il pas lancé, par boutade, "Si le peuple n'est pas d'accord, il faut dissoudre le peuple" (je n'ai plus la citation exacte) ?

lundi 28 avril 2014

Un vote, ou un vrai boycott incluant l'abstention, pour un parlement inutile : où est le dilemme ?

L'essentiel est de sortir de l'union européenne. Un jour, plus tard, quand les esprits seront prêts, il sera possible de bâtir une Europe, qui jusqu'à présent n'est qu'un euphémisme pour désigner le promontoire ouest de l'Asie (un promontoire fort tourmenté, d'ailleurs).

Comme je le déplorais il y a quelques jours, nos contrées ont été peuplées par des vagues successives d'immigrants venus lentement de l'est. En raison des conditions géographiques, ces arrivées successives des mêmes populations au départ se sont fixées dans des lieux plus ou moins isolés les uns des autres, ont développé des langages de plus en plus différenciés, des coutumes liées aussi au terroir et à ses contraintes. 

C'est à rapprocher des centaines de nations d'amérindiens, par exemple. On notera que celles-ci, bien que terriblement réduites aujourd'hui, ont conservé des particularités comme le langage, qui continuent à les diversifier. Il est donc normal, en opposition aux prédateurs anglo-saxons qui veulent imposer à tous leur horrible Globish, que chacun continue à pratiquer ce qui fait la saveur de sa contrée, à la fois coutumes liées au sol et langage.

Une "Europe" ne pourra donc se consolider que par échanges de bons procédés, sur de longues périodes. Quant à une uniformisation économique, elle est tout simplement contraire au bon sens. Mais des financiers vissés à leurs écrans ne savent pas ce que veut dire le bon sens.  Voter dans le cadre d'une telle uniformisation imposée avec violence, n'a tout simplement pas de sens. Surtout dans une France qui se réclame toujours et plus que jamais de Valmy, une France unifiée par le bas. Phénomène unique.

On peut se douter que les princes de la religion du Fric sis du côté de DownTown Manhattan ne seront jamais en mesure de comprendre cela (avec leurs tripes), ou de l'expliquer parce que c'est incommunicable avec des chiffres.

C'est pourquoi il va falloir lutter, lutter, lutter, expliquer, expliquer toujours ce qui paraît évident à qui y a déjà réfléchi. Notre avenir est dans cette nation si particulière et ses Idées, pas dans un ensemble disparate où elle se perdrait sans bénéfice pour personne. Je ne parle pas là d'argent, bien entendu. Sans doute les réflexions des Philosophes du XVIIIe étaient-elle souvent si en avance, que même dans notre pays certains ne les ont pas encore intégrées aujourd'hui. Toutes n'étaient pas bonnes, certes. Elles furent cependant une contribution majeure à l'Humanité entière, par leur aspect universel.

Si un jour une Humanité plus se développe, avec une étape européenne peut-être, ou pas, nous y aurons contribué.  En attendant,  cautionner l'horrible Capitalisme en votant même pour des listes qui prétendent le combattre de l'intérieur (bon courage) et prétendent ainsi acquérir une tribune quelque part où elle sera inaudible, me paraît pour le moins difficile à accepter.

jeudi 24 avril 2014

République bananière d’Ukraine, épisode 10 : par Xavier Moreau

Merci à Cap 2012 et après , pour avoir découvert cette analyse si fine chez Realpolitik.tv.
 
 Le 24 avril 2014
Épisode 10 : Bienvenue dans le Donbass, par Xavier Moreau
Xavier Moreau
Xavier Moreau

Ce n’était sans doute pas une décision de la junte kiévienne que de se lancer à l’assaut du Donbass. Consciente de la faiblesse de ses moyens, elle espérait neutraliser la contestation par l’élection du 25 mai. Cet attentisme n’était cependant pas du goût des sponsors américains de Maidan, qui ont dépêché le chef de la CIA pour lancer une offensive contre les populations civiles de l’est de l’Ukraine. Ils espèrent ainsi, ou bien mâter la résistance par la force, ou – encore mieux – provoquer une intervention militaire de la Russie. 

Malheureusement pour la CIA, le Kremlin a appris à anticiper tous les coups tordus de Washington et est résolu à ne pas intervenir, du moins pour l’instant. Les dirigeants russes connaissent les limites des forces sur lesquelles la junte kiévienne peut compter. La garde nationale est essentiellement composée de jeunes chômeurs et de néonazis, et il est peu probable que l’armée ukrainienne accepte de tirer sur sa propre population.

Les néo-nazis ukrainiens sont comme les islamistes de Syrie. Ils ne constituent pas une unité capable de s’imposer rapidement dans le Donbass, mais ils peuvent faire basculer l’Ukraine dans une guerre interminable, qu’appelle de tous ses vœux Washington. Seuls deux pays ont le pouvoir de mettre fin à ce scénario mortel pour l’Europe, l’Allemagne et la France. C’est à ces deux puissances et à la Russie de régler le sort de l’Ukraine et surtout pas à l’Union Européenne, qui ajoute à la ruine de nos économies la réintroduction de la guerre en Europe. Ajoutons que confier la résolution de la crise à des fonctionnaires sur le point de quitter leur emploi est proprement suicidaire (Anders Fogh Rasmussen, Catherine Asthon et José Manuel Barroso).

Les milices néo-nazies peuvent évoluer avec le temps et de l’entrainement en des unités militairement compétentes. C’est ce sur quoi comptent les États-Unis et leur homme lige à la tête de la junte kiévienne, Olexandre Turtchinov. Ce pasteur évangélique fanatique est l’atout principal de l’OTAN, au côté des milices néo-nazies et des oligarques. C’est dans ce sens qu’il faut interpréter la rencontre entre Dmitro Iarosh et Igor Koloïmoski, le nouveau gouverneur de Dniepropetrovsk nommé par la junte. Le bandériste antisémite et l’oligarque mafieux, président et financier du congrès juif ukrainien, se sont finalement alliés contre l’ennemi commun, la Russie et les Russes. $10.000 sont désormais offerts par la junte, pour la capture d’un fédéraliste. Le financement de « Pravy Sektor » par l’oligarchie est désormais avéré, ce qui ramènent ce mouvement à ce qu’il est réellement : un groupe de mercenaires sans foi ni loi. Cela explique aussi d’où proviennent les 2,5 millions de grivna (220.000 $US), nécessaires au dépôt de candidature de Dmitro Iarosh et explique son statut « d’intouchable ».

Leur première prestation n’a pas été très concluante, puisqu’elle s’est soldée par un échec. Les fédéralistes ont pu exhiber les équipements récupérés sur les néonazis. La presse française s’est contentée de ne montrer que la carte de visite de Iarosh, dénonçant immédiatement un faux. Pourtant, le plus intéressant n’est pas cette carte de visite, ni la MG-42, mais le permis de conduire d’un certain Mikhaïlo Alexandrovitch Stanislavenko, né le 19 avril 1983. Nous comptons sur les médias russes pour retrouver le propriétaire du permis (la chaîne NTV était parvenue, il y a 6 ans, à retrouver le propriétaire du passeport américain perdu lors de la débâcle en Ossétie. 

NTV avait même découvert que le mercenaire, Mikhaïl Lee Walter, avait travaillé en ex-Yougoslavie au moment de l’épuration ethnique de la Krajina par les services secrets allemands et l’armée américaine). Dans une triste vidéo, les défenseurs de Slaviansk ont présenté Vitaly Kovaltchouk, un des attaquants du « check point ». Le gamin de « Pravy Sektor » pensait bénéficier dans le Donetsk de la même impunité qu’à Maïdan… Hier encore, un membre du groupe néonazi, Dmitry Tomarievskovo, a été arrêté à Slaviansk lors d’une mission de reconnaissance.

Iarosh vient d’annoncer la création d’un « bataillon du Donbass » et le transfert de son « état-major » à Dniepropetrovsk, à proximité de son principal bailleur de fonds. La réaction de la junte à cette violation flagrante de l’accord de Genève promet d’être intéressante.

Le temps joue contre l’OTAN

Les accords de Genève peuvent être interprétés comme une première étape vers la paix, mais il nous faut mesurer notre enthousiasme. Gardons à l’esprit que la parole internationale des États-Unis ne vaut rien : d’une part parce que, tout accord est considéré comme du temps obtenu pour préparer une relance des hostilités ; d’autre part, parce que le gouvernement américain n’a pas un contrôle réel de sa politique étrangère. Barack Obama était-il au courant du voyage de son chef des services secrets à Kiev ? Savait-il que ce dernier allait lancer une opération militaire contre l’est de l’Ukraine ? Rien n’est moins sûr. La meilleure garantie pour une issue pacifique de ce conflit est la supériorité militaire et économique de la Russie, associée à la sagesse retrouvée des dirigeants français et allemands.

Comme nous l’avons expliqué dans nos analyses précédentes, la stratégie de la Russie n’est pas d’intervenir militairement mais d’attendre que l’Ukraine s’écroule économiquement. Chaque jour qui passe est une prise de conscience supplémentaire pour la junte ukrainienne de la dépendance de son économie nationale envers la Russie. Les puissances européennes, aveuglées par l’UE, sont elles aussi en train de comprendre l’interdépendance de leurs économies.

La presse française nous répète que la Russie a perdu l’Ukraine, pourtant c’est exactement le contraire. Si l’OTAN ne réussit pas à faire basculer le pays dans la guerre civile d’ici 6 mois, c’est elle qui perdra l’Ukraine. L’alliance pourra garder une certaine influence sur une « république autonome de Galicie », où les mouvements néonazis ont apprécié le soutien qui leur a été apporté… Cela dit le peu d’argent que les États-Unis sont capables d’investir dans la région, les rend de moins en moins attractifs.

L’autre échéance qui menace les États-Unis et qui pourrait se produire d’ici la fin de l’année, est son pic de production en matière de gaz de schiste. Le mirage s’évanouit peu à peu, contrairement aux illusions entretenues ces dernières années par la presse atlantiste (Fabrice Nodé-Langlois s’est avéré aussi incompétent en matière énergétique que sur sa compréhension de la Russie lorsqu’il était correspondant du Figaro à Moscou). Même les analystes les plus optimistes tablent désormais sur une augmentation de la consommation de gaz naturel aux États-Unis et donc une augmentation sensible du prix. Le champ gazier à observer avec attention est celui de marcellus shale en Pennsylvanie, sans lequel la production américaine serait déjà en train de baisser.

Barack Obama a autorisé l’exportation du gaz de schiste non pas pour sauver l’Ukraine et l’Europe de la dépendance gazière russe, mais parce que les prix pratiqués sur le marché américain en annihile la rentabilité. La fin du gaz de schiste aux États-Unis pourrait provoquer une crise très grave outre-Atlantique, car les prix bas pratiqués ont en rendu son économie extrêmement dépendante. Ces prix ont en outre découragé les investissements en infrastructures, ce qui aura des conséquences dramatiques quand les États-Unis devront de nouveau importer massivement du gaz. Ils pourront toujours reprendre le projet avorté de terminal GNL avec Gazprom. Cela relancerait pour de bon l’exploitation du champ gazier de Chtokman avec Total et ENI. En attendant les principaux acteurs pétroliers occidentaux sont en Russie, et bien content d’y être.

En fait les États-Unis et l’OTAN ont une fenêtre de quelques mois pour lancer une guerre civile en Ukraine, qui puisse avoir des conséquences économiques graves en Europe et tirer profit, comme en 1914-1918 et en 1939-1945, d’une guerre civile européenne, même si elle n’est qu’économique.

Washington a cependant remporté une première victoire, non pas contre la Russie, mais contre la France. Les organisateurs d’« Eurosatory » viennent en effet d’annoncer que les sociétés russes pourraient boycotter l’exposition, ce qui constituera une perte sèche pour le salon. La France est en train de perdre, par la faute de son alignement sur les États-Unis et son soutien à la junte libéralo-nazie de Kiev, son principal relai de croissance en Europe pour son complexe militaro-industriel. Elle perd également sa réputation de partenaire fiable et indépendant.

Choc de civilisation

Nous avons cherché dans l’Histoire un précédent, où une puissance européenne aurait froidement massacré ses propres alliés, ou sa propre population, pour faire endosser les exactions par son ennemi et ainsi le discréditer. Certains gouvernements se sont attaqués aux plus faibles ou ont exterminé leurs anciens alliés sans pitié, ce fut le cas de l’Allemagne hitlérienne. D’autres ont massacré des millions de paysans innocents, comme le Polonais Dzerjinski ou le Géorgien Staline. Ce dernier a également tenté de faire porter la responsabilité du massacre de Katyn aux Allemands. Les pires criminels de tous les temps ont tenté de cacher les massacres qu’ils avaient commis, ou d’en faire porter la responsabilité à d’autres. 

Mais jamais dans notre civilisation nous n’avons tué nos propres amis pour faire accuser notre adversaire. Seuls les États-Unis et l’OTAN sont capables de cela, et c’est ce qu’ils ont commencé à faire en Ukraine de l’est après l’avoir fait en Yougoslavie (marché de Markalé, bombardement des colonnes de réfugiés albanais au Kosovo), en Syrie (attaque à l’arme chimique sur les populations civiles pour faire accuser Bachar el Assad), ou à Kiev (snipers pour abattre les manifestants et les membres des forces de l’ordre, couverts par Catherine Ashton). Sans grande imagination, l’OTAN nous rejoue le même scénario depuis 25 ans, comme si internet n’existait pas, pour mettre en lumière ces provocations grossières. Nous avons eu le tractage antisémite bidon à Slaviansk, le meurtre de responsables gouvernementaux, de journalistes, les attaques contre les Roms, nous avons eu l’esquisse d’un camp de concentration avec des rumeurs de tortures à Slaviansk. Cette panoplie est tellement grotesque que même la très soumise presse française hésite à la reprendre et à matraquer le peu de lecteurs qui lui reste. La pression d’internet est désormais trop forte sur les journalistes français, qui ne souhaitent pas passer pour des menteurs patentés de manière trop flagrante.

Pour comprendre les événements en Ukraine, il est important de garder à l’esprit, que les États-Unis ne font pas partie de notre civilisation, et que les valeurs occidentales sont à l’exact opposé des valeurs européennes. Nous ne pouvons pas imaginer qu’un gouvernement puisse s’allier avec des islamistes ou des néonazis, ni qu’ils puissent massacrer ses propres amis, parce que nous sommes issus d’une civilisation reposant sur mêmes les valeurs chrétiennes, orthodoxes ou catholiques. Mêmes si les dirigeants occidentaux paraissent nous ressembler, nous sommes ontologiquement, socialement et sociétalement, l’opposé des États-Unis. Leur sauvagerie sans limite est la conséquence de leur prétendue élection divine et de leur insatiable volonté de puissance. C’est ainsi qu’en chassant l’OTAN de Crimée, la Russie a offert à la nouvelle Europe sa première victoire et un premier pas vers sa libération.
Xavier Moreau
Crédit photo : The Global Panorama via Flickr (cc)

vendredi 18 avril 2014

Les citoyens tous unis contre l'union européenne des banquiers

Le rapport à l'argent va certainement bien plus loin qu'on ne l'imagine. Qu'on le veuille ou non, il commence déjà par décider des rapports politiques. Tous les partis, par exemple, ou presque, rendent hommage à l'argent. C'est ainsi que, très objectivement, le parti communiste, productiviste, est sous la coupe du Capital au lieu de le combattre, puisqu'il veut donner du travail aux ouvriers. Ceux-ci ne reçoivent en échange qu'une parcelle de la richesse qu'ils ont produite, encore cela est-il essentiellement le moyen de reconstituer leur force de travail. La partie dont ils bénéficient réellement est infime. En fait, ce sont les échanges non-marchands qui les aident à tenir. C'est une simple promenade en douce compagnie, c'est un copain qui organise un bœuf dans un garage, c'est l'arrivée du printemps...

Aujourd'hui, nous sommes redoutablement piégés par le système bancaire, qui possède notre argent et s'en sert alors que les salaires et pensions ne sont jamais donnés directement au bénéficiaire, depuis des années. Cette masse pas encore dépensée sert de base, sur le rapport de 1 pour 9, voire bien plus, pour créer l'argent (fictif) des prêts. Cet argent deviendra réel, avec intérêts, au fur et à mesure des remboursements. Bien sûr, puisque ces remboursement viendront du travail effectué dont une part reviendra ainsi au banquier. De la flibusterie !

Sans doute commence-t-on à le savoir, ce sont les banques privées qui ont créé cette sorte de machin nommé union européenne. Union bidon, où seul le financier est sûr de tirer bénéfice. Une seule solution existe, pour contrecarrer ces vues de plus en plus pressantes et terribles : s'évader de cette union des dupes et des caïmans. Quitter cette Europe fictive (là encore) où cohabitent sans le savoir des civilisations différentes, prend tout son sens. Bien entendu, les caïmans devront être rejetés à l'eau ou éliminés pour éviter qu'ils ne tuent nos enfants.

Malheureusement, fort peu de personnes, et encore bien moins de partis, ont accepté de s'apercevoir de cette nécessité. Accepté, parce que l'aventure est dangereuse. Les caïmans n'hésiteront pas à se débarrasser de ceux qui font prendre conscience de cette nécessité. C'est pourquoi tous les grands partis, même ceux dits de gauche, se tiennent bien sagement dans les pas de la doxa concoctée dans les années 1940 aux USA, quand "les Grands Anciens" comme Jean Monnet, Paul Henri Spaak ou Robert Schuman, apprenaient leur métier d'agents du Capital sous couvert d'Europe.

Le traité de Lisbonne, en violant OUVERTEMENT la volonté des peuples, a été la grosse goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Désormais, toute action CONTRE l'union européenne aura un caractère sacré, un caractère de Résistance. Ce n'est pas pour rien que des humains en France, renouant avec l'esprit et la lettre du CNR fruit de la Résistance à l'envahisseur, ont recréé un nouveau CNR, le CNR-RUE. Le Conseil National de Résistance Républicaine à l'Union Européenne. A nouveau, il s'agit bien de résister à un envahisseur : ses soldats sont économiques et financiers, mais il fait des ravages dans notre pays et ses voisins.

Le premier acte, pas seulement symbolique, sera à l'occasion de l'élection au suffrage universel de listes, en vue de faire siéger au "parlement européen" que nous n'avons jamais appelé de nos vœux, quelques députés choisis à la proportionnelle. Ce pompeux parlement n'a aucun pouvoir, excepté de faire la moue sur des dossiers qui tôt ou tard seront appliqués.

Refuser de voter n'aura donc aucune incidence négative. Au contraire, cela affichera clairement, si c'est réellement massif, combien les citoyens refusent de cautionner la forfaiture du 4 février 2008. Les politiciens, véreux en masse, ont contrevenu aux décisions du peuple souverain. Autrefois, on coupait des têtes pour moins que cela. Ce boycott, puisqu'il faut l'appeler ainsi, sera non seulement un refus, mais un appel à démolir cette fausse Europe qui n'est que celle des banquiers.

Le 25 mai, pas une voix ne doit aller dans les urnes pour admettre la pertinence de ces institutions perverses. Tous les citoyens doivent faire front, et crier leur haine du Système qui les tue à petit feu, comme des sangsues. Une bonne initiative serait une manifestation nationale du CNR-RUE qui porterait haut et fort ce message : dehors, l'union européenne ! Finie, la monnaie unique ! Le peuple est dans la rue, pour sauver la liberté, de plus en plus aléatoire pour les plus humbles, l'égalité et la fraternité que les puissances d'argent veulent démolir en la personne de la Sécurité Sociale et de la retraite par répartition, les joyaux du premier CNR.

Nos armes, ce seront les bulletins de vote, qui resteront dans notre poche, en attendant d'autre usages. Aux armes, citoyens.


samedi 12 avril 2014

Jacobinisme et européisme

proposition de découpage parue dans le Figaro
Jean-Luc Bœuf, analyste à l'Institut Montaigne, vient de proposer un redécoupage des régions françaises, réduisant leur nombre à dix pour la métropole. Dans la logique des institutions de Bruxelles, cela présente une certaine cohérence. Dans la logique brute de fonderie de la prospective à courte vue d'économies à tout prix, cela peut en avoir une également.

Le problème avec le redécoupage projeté, c'est l'affaiblissement d'un État qui aurait à faire à des régions moins nombreuses, donc plus fortes. On me taxera de jacobinisme, mais c'est une constante française dont il faut tenir compte, à moins de vouloir interdire par décret toute différence culturelle. C'est pourquoi je préfère l'effacement total des régions, et une reprise des départements : il est important cependant que le président du conseil général ait moins d'emprise sur ses collègues. L'important est de jouer la carte de la proximité. Et dans ce cas, les aberrantes communautés de communes n'ont plus aucune raison d'être.

J'enlève ainsi deux couches. En revanche des syndicats locaux, souples et se constituant par la base, auront un rôle bien plus pertinent. Syndicats locaux, qui pourraient parfaitement s'affranchir de la "frontière" des départements, au gré des besoins.

Rapprocher les élus des électeurs, cela permet aussi... de faire des économies d'énergie. Tout le monde n'a pas Internet, donc certains seront contraints (comme par hasard souvent les moins valides) de se déplacer personnellement. On n'a pas toujours forcément un voisin serviable à proximité au bon moment.

Avec un retour de l'utilité des communes, pourra se favoriser une prise de décision commune qui, pour le moment, n'existe pas. Le but serait, sur la base bien entendu du volontarisme, de reproduire avec des variantes l'exemple de Marinaleda. Cela permettrait, pour beaucoup de choses, de rendre inutile l'union européenne, telle qu'elle existe, dictature venue du haut illégitimement. Là, je sais que je heurte les conceptions des Verts, dont bien entendu je ne suis pas.

La hiérarchie des décisions doit venir du bas, non du haut. Entre citoyens tous égaux en droits et en devoirs, tous différents mais pas en importance (j'insiste particulièrement là-dessus), ma démarche est cohérente. Bien entendu certains voudront la récuser, parce qu'ils vont considérer que certains valent plus que d'autre, ce qui à mon avis n'est pas vrai. La faute en est à une Éducation Nationale là encore trop dirigiste, qui en uniformisant écrase certains talents et en pousse d'autres en avant, au détriment des premiers.

Avec une prise de décision "par le bas, peut se développer une vraie souplesse, au risque (mais en est-ce un ?) de n'avoir plus d'examens nationaux valables pour tous, de gré ou de force. Le Baccalauréat tel que nous le connaissons, avec des variantes naturellement, date de 1808, et de Napoléon. C'est un hommage au dirigisme. Il ne s'agit plus d'une "réforme", là, mais d'une reprise de fond en comble du système éducatif français. L'autre a fait son temps.

Le but, en fait, et de renvoyer dos à dos un européisme poussé par des banquiers privés (sauf de moyens), qui ne peut apporter que le malheur dans sa logique productiviste et consumériste à la fois, où n'existent que maîtres et esclaves pour simplifier ; et un jacobinisme faisant descendre toutes les décisions d'un point "central". Les décisions, c'est au niveau des citoyens qu'il vaut mieux les prendre, en fonction de beaucoup de facteurs locaux. Celles-ci pourraient alors remonter, être collectées afin de faire bénéficier tout le monde, éventuellement des expériences locales. Le niveau "national" aurait aussi bien entendu pour mission, sous le contrôle de la base, de négocier des accords avec les pays alentour dans le respect de leurs différences.

Quant aux banques, déprivatisées, beaucoup moins omniprésentes, elles ne seraient plus que des facteurs de développement local débarrassés de la notion de PROFIT. Comme le forgeron ou le réparateur de vélos.

vendredi 11 avril 2014

Rappel important : aujourd'hui grand meeting anti-union européenne à Nice

Vu cet avis communiqué par le CNR-RUE

A Nice (06) : Grand meeting de lancement de la campagne de boycott des élections européennes
11 avril 2014
Le « Comité Départemental de Résistance Républicaine à l’Union Européenne », le CDR-RUE, organise un grand meeting de campagne à NICE. Cette manifestation aura lieu le vendredi 11 avril 2014 de 18h à 21h au CLAJ, 26 avenue Scuderi 06100 Nice, en présence de Jacques Cotta, signataire au niveau national et départemental de l’appel au boycott des élections européennes du 25 mai 2014.

Jacques Cotta est bien connu des niçois, il est journaliste, réalisateur et producteur de documentaires à la télévision française. Il a en charge la série « Dans le secret de… », sur France 2. Son dernier livre : « L’imposteur » est paru en février 2014 aux éditions Balland.

Lors de cette soirée seront explicitées les principales raisons politiques du boycott de ces élections. Le but est de mettre en évidence, par cet acte politique fort, le caractère antidémocratique de l’Union Européenne. Le parlement européen est la façade démocratique de cette construction supranationale qui confisque la souveraineté populaire et la souveraineté nationale.
Voir la carte
Au CLAJ 26, avenue Scuderi 06100 Nice
Le CNR-RUE, Comité national de Résistance Républicaine à l'Union Européenne, rappelle son manifeste fondateur.
-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-

Logo-bonnet-Transparent

Appel national pour le boycott de l’élection européenne

Texte de l'appelTexte de l’appel

Le 8 février 2014.

Les signataires de cet Appel créent le Comité national de résistance républicaine à l’Union européenne (CNR-RUE) et s’engagent, en France, dans une campagne de boycott militant de l’élection des représentants de la France au parlement européen, le 25 mai 2014. Ils invitent à la création de comités similaires dans les départements et localités.

L’Union européenne (U.E.) et sa monnaie unique martyrisent les peuples sous le talon de fer de l’austérité à perpétuité. Le 25 mai 2014, cette politique et ce système devront être sanctionnés. Le meilleur moyen sera de délégitimer l’U.E., l’euro, les traités, la Commission, la Banque centrale européenne et le parlement européen par une abstention massive, une véritable grève du vote.

Le devoir de tout citoyen, lorsqu’une élection est organisée démocratiquement, et que son résultat peut avoir un effet politique sur les institutions, est d’utiliser son droit de vote conquis de haute lutte. Ce n’est pas le cas de l’élection au parlement européen.

1.- C’est le principe même de l’élection à un parlement européen qui doit être récusé. Un parlement, à l’échelle européenne, n’a pas lieu d’être car il n’existe aucun peuple européen susceptible, au moyen d’un Etat européen, de se former en communauté politique à l’échelle du continent et d’y exercer sa souveraineté. Si tel était le cas, les pouvoirs de ce parlement européen s’exerceraient nécessairement au détriment des pouvoirs des parlements nationaux.

2.- Le vote du 25 mai 2014 sera totalement stérile puisque le parlement européen n’a pas les pouvoirs de faire évoluer l’Union européenne. Il ne possède aucune des prérogatives d’un vrai parlement : il ne peut pas changer les traités qui fondent l’U.E., ne peut pas voter l’impôt, n’a pas l’initiative des lois… En outre, que les libéraux, les sociaux-démocrates européens, les Verts, le Parti de la gauche européenne gagnent des sièges, cela ne changera rien aux orientations politiques puisque l’eurodroite et la social-démocratie pilotent ensemble les travaux parlementaires.

3.- Le boycott des élections européennes servira aussi à dénoncer le double jeu politicien du Front national. Ce dernier, en effet, d’un côté prétend vouloir sortir de l’euro et de l’Union européenne, et d’un autre côté veut entrer dans le système – dans lequel il est déjà entré par la présence de madame Le Pen, députée européen – pour se goberger comme les autres. Il cautionne ainsi et profite lui-même de ces institutions qui lui garantissent à la fois des revenus substantiels, et son rôle de verrou du système politique. On comprend pourquoi, car en réalité le FN ne veut pas sortir unilatéralement la France de l’U.E. et de l’euro. La prétendue « sortie concertée et progressive » de l’euro prônée par Mme Le Pen perd toute portée pratique quand on sait que le FN la subordonne très officiellement au feu vert de l’Allemagne.

4.- L’élection au parlement européen n’est qu’une farce électorale. Elle n’a d’autre but que de simuler un acte démocratique et légitimer ainsi tout le système de l’U.E. C’est un devoir citoyen de voter quand le suffrage sert à la souveraineté du peuple, c’est aussi un devoir civique de refuser de voter quand le suffrage vise à détruire la souveraineté nationale et populaire. D’ailleurs, comment se faire prendre deux fois au même piège ? En refusant de tenir compte du « non » français du 29 mai 2005 au traité constitutionnel européen, le système a démontré son caractère tyrannique et dictatorial. Aucune élection juste n’y est possible.

Face à cette entreprise d’effacement national et de régression sociale, aucune des grandes forces politiques françaises en lice lors des prochaines élections européennes ne porte de projet alternatif et progressiste. Certaines de ces forces annoncent leur participation à ces élections pour faire parler d’elles. D’autres, espérant obtenir quelques élus, veulent faire du parlement européen une caisse de résonnance à leurs revendications. Ce ne sont qu’illusions et diversions. Illusions, car les grands médias ignorent les petites listes, tandis que l’absence de couverture médiatique des débats de ce parlement d’opérette interdit de donner le moindre écho aux mouvements euro-critiques. Diversions, car en participant à ce simulacre électoral, ces forces politiques cautionnent le système européen qu’elles prétendent dénoncer par ailleurs.

Seuls les citoyens qui se seront abstenus auront clairement délégitimé l’U.E. Leur acte sera un coup de tonnerre politique ôtant toute crédibilité à l’Union européenne, la ridiculisant et ouvrant un espace sans précédent aux luttes populaires. Le véritable enjeu de cette mascarade électorale sera donc l’abstention citoyenne.

Le 25 mai 2014, le meilleur choix pour manifester son mécontentement à l’égard de l’U.E. sera de boycotter activement l’élection européenne !


mardi 8 avril 2014

Pour sortir du capitalisme, sortons de "cette Europe-là"

Pour sortir de la situation actuelle, il faut s'attaquer à ceux qui sont au-dessus de "nos représentants". Donc abattons le capitalisme.

Pour abattre le capitalisme,il fait s'attaquer au PROFIT, qui n'est pas la juste rémunération d'efforts, mais l'accaparement de richesses créées par d'autres.

Pour démonter les rouages du PROFIT, il faut en démonter les mécanismes, bancaires en particulier. Ce sont les banques qui créent une richesse parfaitement fictive, par un mécanisme du crédit basé sur une toute petite fraction des sommes prêtées.

Pour démonter le système bancaire actuel, il faut ne prêter que des richesses existantes, qui seront rendues à l'organisme prêteur avec "un salaire" fixe (prêter un milliard ne coûte pas plus cher que prêter cent euros, mécaniquement).

Pour que cette nouvelle disposition fonctionne, il suffit que chacun dépose ses richesses dans une "banque" centrale, ce qui élimine la concurrence - vu qu'il n'y a plus de "PROFIT", c'est logique.

Puisque chacun prend ce dont il a besoin, et seulement cela,  pour le rendre ensuite quand il a créé à son tour de vraies richesses, c'est tout le monde qui s'enrichit ensemble.

De quoi a-t-on vraiment besoin ? Un toit pour se loger ? Quelques vêtements, la nourriture nécessaire chaque jour, de quoi se soigner éventuellement, tout cela peut se faire facilement puisque nous sommes tous égaux en droits et en devoirs, et en même temps TOUS différents. Pas au-dessus, en-dessous, seulement différents.

Le ramasseur de poubelles, chacun en aura besoin au moins une fois par semaine. Le chirurgien, avec un peu de chance, jamais. Le second aura besoin de plus de temps pour étudier "son art", pendant ce temps-là c'est l'effort commun qui lui permettra de continuer à vivre normalement, y compris celui du ramasseur de poubelles. Des rémunérations aussi différentes n'en ont plus de sens.

Tout le monde est utile, excepté celui qui ne veut pas l'être, lui seul se retrouvera marginalisé par sa propre faute. Et signalons-le là : une femme enceinte, elle aussi, est créatrice de richesse, la plus grande richesse sans doute : potentiellement de nouveaux talents.

Avec une nouvelle prise en compte du monde, la propriété privée ne se justifie plus. Elle que même les révolutionnaires de l'An II n'ont pas osé toucher. Rappelons, par exemple, que selon les phases de la vie on a besoin de plus ou moins de place, il suffit donc de créer des logements pas forcément "standard", mais surtout adaptés à ces différents besoins. Le "droit d'usage" existera toujours, la propriété pleine et entière ne se justifiera plus du tout. Ce sera valable pour tout bien entendu.

Avec ces nouvelles notions, l'écologie deviendra un composant naturel de la vie. Terminé le productivisme, ne sera fabriqué que ce qui est nécessaire, à la demande. Il suffira de faire du solide, simple, qui dure et est réparable.

Par ce fait, disparaîtront plein de métiers comme la publicité, comme la grande surface consumériste, comme l'assureur presque toujours inutile ("les petites lettres"), comme le banquier omniprésent,  En revanche l'artisanat pourra refleurir. La convivialité y gagnera grandement. La solidarité ira de pair, avec la confiance. Plus de voleurs, donc pratiquement plus de police avec les abus qui en découlent trop souvent.

Je rêve ? Ne nous y trompons pas, quand les ressources de la planète auront encore baissé en raison de la boulimie à laquelle des personnes très intéressées veulent nous soumettre, il faudra bien en arriver à cette vie frugale, mais enrichissante en vraies valeurs humaines.

Encore une raison pour sortit de "cette Europe" qui est un élément très important du Système. Disons NON, en refusant de voter, ce sera un premier pas vers un monde différent, et sûrement meilleur.

vendredi 4 avril 2014

Europe (du moins ce que les média appellent ainsi) : attaquons-la partout, y compris par le boycott

Le CNR RuE a été récemment créé pour défendre la République pour faire pièce aux attaques sanguinaires de la propagande du Nouvel Ordre Mondial, relayé par l'entente des partis politiques dits "officiels". Même ceux qui se prétendent "de gauche" comme le PCF ou même le PG.  Pourquoi même ceux-là ? C'est une raison triviale qui les pousse : il faut placer untel ou untel, sénateur, député européen, là où ils ont déjà une emprise, et.... une prébende.

Le CNR RuE se réclame expressément du programme (pas du tout obsolète) du CNR de 1944, celui qui a créé de toutes pièces le régime social français extrêmement innovant, extrêmement horrible pour le capitalisme mondial. Celui qu'avait adoubé le général de Gaulle en synergie avec le Parti Communiste de l'époque. On imagine la différence avec aujourd'hui.

Les concepts imaginés par le CNR étaient à l'exact opposé des diktats des imbéciles d'aujourd'hui, vissés sur les doctrines de l'école de Chicago, liées elles-mêmes à des conceptions désastreuses des rapports humains :  pour elles, la compétition était évidente, le PROFIT le Nirvana.... alors que seule la solidarité, que dis-je, l'amour fraternel entre tous les humains peut amener au bonheur tout simplement.

C'est dire combien le fossé est immense : à nous de préciser tous ensemble que NOTRE conception est belle et simple et sans machiavélisme sordide. Sans doute les anglo-saxons, trop axés sur un concept social éminemment vicié, vont-ils hurler (s'ils sont riches, ou stupides).

Il faut TUER cette pseudo-Europe, qui n'est que celle des financiers, mais en aucun cas celle tout simplement des humains : eux n'en font pas partie, et seraient à recycler via des ressources psychiatriques, voire neurologiques, pour contrer leur pseudo-vision extrêmement narcissique.

Afin de contrer ces grands malades, il va falloir refuser de voter pour leurs institutions pourries par eux, et le faire savoir, l'expliquer, faire comprendre combien tout vote est un satisfecit  à leur emprise.  S'il y a moins de 10% de votants, c'en est fait de leur monde de m....  ils auront compris que les citoyens, eux, auront compris.

Le CNR RuE relaie cette prise de conscience. Rejoignez-le. Ou tout simplement, ne votez surtout pas.

Dans chaque département les CDR RuE relaieront votre réflexion. Contactez-les. Le site national donne les points régionaux à contacter si vous avez des initiatives à proposer.



jeudi 3 avril 2014

Rappel : la peine de mort est revenue (Médiapart)

Vous sauterez au plafond ?

Lisez cette tribune de Médiapart, ce n'est pas un poisson d'avril : nos magnifiques institutions européennes ont seulement "omis" de nous en prévenir. Bien entendu seule est concernée la lutte pour la liberté et contre les dictatures. On ne rêve pas !

http://blogs.mediapart.fr/blog/vivre-est-un-village/260114/leurope-retablit-la-peine-de-mort

Notre seule arme encore légale aujourd'hui est le boycott de l'élection européenne, qui si elle est pratiquée à très grande échelle peut les faire hésiter.