Avec
certains amis, j'étais arrivé à la conclusion que le 20 décembre
pourrait être la date butoir pour le déclenchement des hostilités. Les
fous du Pentagone y tiennent tant ! Et il leur faut avoir déclenché
l'irrémédiable AVANT la confirmation pour Trump qu'il sera bien
président.
Les
grands électeurs se réuniront pour voter demain lundi 19 décembre : les
résultats ne seront connus en Europe que le 20 bien sonné, avec le
décalage horaire. La Russie est encore plus en avance. Donc le décompte
horaire correspond.
Les
vecteurs "stratégiques" sont fin prêts. Le Charles de Gaulle, dont il
avait été dit qu'il était de retour à Toulon, est toujours sur zone
comme a pu le constater le chef des armées en tournée de popotes. Ses
Rafale sont prêts, ceux basés en France métropolitaine le sont également
désormais. Quant aux rafiots d'Oncle Sam, ils jouent aux scouts
"toujours prêts", voui voui voui voui.
Après
ce sera plus difficile, à moins que la "trêve de Noël" ne vole en
éclats puisque les fous de guerre ne respectent rien. La capture
d'officiers de l'OTAN à Alep doit pourtant les coincer aux entournures,
parce que leur propagande faisant reposer tous les torts sur les
troupes régulières syriennes et les invités russes tombe vraiment à
faux. Cela peut cependant les doper encore plus dans la volonté d'en
finir en apothéose. Seul ennui pour eux, ils savent que Moscou sait tout
de leurs mouvements, ce qui doit freiner quelques ardeurs à part celles
de quelques jusqu’au-boutistes irresponsables et bien téméraires.
Qui vivra verra. Drôle de fin d'année.
bab