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dimanche 18 décembre 2016

Moins deux jours pour la Der des Der, celle qui effacera tout ?

Avec certains amis, j'étais arrivé à la conclusion que le 20 décembre pourrait être la date butoir pour le déclenchement des hostilités. Les fous du Pentagone y tiennent tant ! Et il leur faut avoir déclenché l'irrémédiable AVANT la confirmation pour Trump qu'il sera bien président.




Les grands électeurs se réuniront pour voter demain lundi 19 décembre : les résultats ne seront connus en Europe que le 20 bien sonné, avec le décalage horaire. La Russie est encore plus en avance. Donc le décompte horaire correspond.





Les vecteurs "stratégiques" sont fin prêts. Le Charles de Gaulle, dont il avait été dit qu'il était de retour à Toulon, est toujours sur zone comme a pu le constater le chef des armées en tournée de popotes. Ses Rafale sont prêts, ceux basés en France métropolitaine le sont également désormais. Quant aux rafiots d'Oncle Sam, ils jouent aux scouts "toujours prêts", voui voui voui voui.




Après ce sera plus difficile, à moins que la "trêve de Noël" ne vole en éclats puisque les fous de guerre ne respectent rien. La capture d'officiers de l'OTAN à Alep doit pourtant les coincer aux entournures, parce que leur propagande faisant reposer tous les torts sur les  troupes régulières syriennes et les invités russes tombe vraiment à faux. Cela peut cependant les doper encore plus dans la volonté d'en finir en apothéose. Seul ennui pour eux, ils savent que Moscou sait tout de leurs mouvements, ce qui doit freiner quelques ardeurs à part celles de quelques jusqu’au-boutistes irresponsables et bien téméraires.


Qui vivra verra. Drôle de fin d'année.

bab

dimanche 13 novembre 2016

La fin finale par la Guerre de trop n'a plus que deux mois

Il ne reste plus que deux mois aux hordes de Washington et leurs chiens damnés pour lancer leur offensive afin d'alimenter le Moloch. Deux mois. Ensuite, ils passeront la main, le supplétif à manivelle improprement nommé le Charles-de-Gaulle devra rentrer pour révision, le soutien partout sera affaibli, les dents seront cassées. Les Rafale actuellement sur le qui-vive seront rentrés à la niche.

Vont-ils oser se lancer ? Les grands fauteurs de guerre du Pentagone trouveront-ils le prétexte "vendable" auprès des populations US pour préparer leur fête (à admirer de loin, comme ils l'imaginent) ? Sans doute, leur position dans un Washington un peu à l'intérieur des terres leur donne-t-elle un sentiment d'invulnérabilité. Leur rage (au sens réel de la maladie) qui leur donne l'envie de mordre tout ce qui est à portée doit les tenailler tellement !




Je pense que, si quelque chose est lancé, les Russes pas du tout agressifs, mais déterminés, leur feront apprécier LES PREMIERS l'étendue de la riposte. Elle sera fulgurante et irrémédiable, c'est à la fois juste et nécessaire.

Si pareille catastrophe survient, les étendues immenses de la Russie l'aideront une fois de plus, alors que probablement les régions entre Rio Grande et Grands Lacs seront une marmite de sorcière. En particulier leurs deux côtes, celles qui votent encore pour les chiens de guerre. La ville de L'Enfant ne sera plus qu'un lointain souvenir (rien moins qu'impérissable d'ailleurs). Les bas quartiers de la Grosse Pomme en seront au même point, eux qui abritent tant de Grands Banquiers. San Diego, Norfolk ne seront que quelques ruines fumantes, de même que Seattle. Ne resteront que les États centraux du blé et des bovins, car probablement l'orgueilleuse Chicago aura-t-elle subi le sort des côtes, avec quelques minutes de retard, ainsi sans doute que le quartier général sous la montagne, près d'Omaha.

Deux mois à tenir ! et au bout de ces deux mois, la probable poignée de main décontractée entre deux hommes qui auront su quel était leur devoir envers tous leurs concitoyens. Les garder vivants. Nous garder vivants.

Le compte à rebours est commencé.

mercredi 9 novembre 2016

L'aveuglement face à une petite élection régionale d'USA

Les journaux parlent de l'élection, de l'élection, de l'élection.... ad nauseam !

Il s'agit d'une tentative de départager deux prétendants à un siège dans un bureau ovale, qui a pourtant de fait bien peu d'importance dans le vaste monde. Hormis la présence d'un certain bouton rouge cependant, qui jusqu'à présent n'a pas servi.






Tous les journaux en parlent, et surtout, ne parlent que de cela. Pendant ce manège pervers, des personnes, des femmes, des enfants, meurent en Somalie, en Irak, en Syrie, en Libye, au ViêtNam, partout où le calamiteux OXYDANT a posé sa sale patte. Pas un mot dans la "Presse". Ce n'est pas vendeur.

Quand serons-nous, nous autres "les petits, les sans-grade", serons-nous débarrassés de cette oligarchie assassine et mondiale ?


"Réalisez-vous ce que vous avez fait ? "

mardi 8 novembre 2016

Linky, Gazpar, compteurs "intelligents", et LA LOI

Linky, Gazpar et la loi

Nous l'avons largement démontré, le compteur Linky apporte des nuisances "grâce" au CPL qui envahit tout un immeuble, même si vous-mêmes l'avez refusé, et avez réussi à faire respecter ce refus. A vous éventuellement, ensuite, d'installer des filtres et des protections murales (matelas aluminisés) pour vous protéger des ondes dans les murs provenant de vos voisins. Cela a un coût non négligeable, et aucun secours ne pourra vous être apporté, aucune assurance ne le prendra en compte.

Les nuisances continuent, avec dans la rue les échanges entre le concentrateur de chaque groupe de logements, et l'antenne principale d'ENEDIS, ou d'EDF, sur la fréquence des téléphones cellulaires. Ce va-et-vient entre concentrateurs plus ou moins nombreux (il en est prévu paraît-il 600 000 sur l'hexagone, placés à hauteur d'homme ) et centralisateur vient s'ajouter au trafic des téléphones 3G, 4G,  bientôt 5G avec les antennes-relais dont on connaît les nuisances déjà.

S'y grefferont bientôt (début du déploiement, 2017) les trafics entre les compteurs Gazpar, certes un peu moins nombreux faute de déploiement moins généralisé du gaz, et les antennes moins nombreuses, donc plus musclées, installées sur les immeubles et les châteaux d'eau pour en recevoir les données.

Enfin, sans faire de bruit,  les compteurs à eau deviennent eux aussi "intelligents" (tu parles !) au gré des désirs de Veolia, eux aussi se mêleront au concert d'ondes toujours dans la gamme de fréquences du téléphone mobile. Les réémetteurs étant là aussi moins nombreux, les niveaux du flux n'en seront que plus élevés. 

Que vont dire, et subir les hyper-électrosensibles, de plus en plus nombreux par effet de seuil ? Pour avoir collecté des témoignages, on ne peut souhaiter à personne ce basculement dans le mal-être, voire l'enfer permanent.

A côté, les autres inconvénients, pourtant non négligeables (appareils soudain en panne dès l'arrivée du Linky par exemple, parfois incendies en raison d'une pose perfectible, augmentation des réglages de puissance, donc des coûts d'abonnement en raison des pics de consommation qui mettent le compteur "en sécurité" - donc plus de courant - et autres) pourraient presque passer "par profits et pertes" comme on dit.




Tout cela, oui TOUT cela, provient de la directive dite européenne (en fait celle des lobbies d'industriels planétaires) qui exige que tous ces "capteurs" soient connectés et consultables à distance par BIG DATA. C'est un marché colossal, portant sur le profilage plus ou moins pointu des utilisations d'appareils, et dans la foulée, des UTILISATEURS également. Cette arnaque planétaire est coulée dans LA LOI, ce qui veut dire que s'y opposer, c'est s'élever sciemment contre la loi .

Faudra-t-il, visage découvert, fièrement et sans armes, nous dresser CONTRE ces diktats où nos intérêts de citoyens, d'humains même sont bafoués ? Sans doute. Le combat sera rude. Il sera d'autant plus rude, que peu de personnes encore s'en sont emparées. Car ne nous cachons pas le défi : ce sera une lutte CONTRE LA LOI. Pour nos enfants et nos descendants. Et nous n'aurons même pas comme le député Baudin à prouver que l'on est abattu pour un mandat. Nous ne sommes que de simples citoyens, conscients de la suite.

jeudi 3 novembre 2016

Le tirage au sort est-il la panacée ? ou une fausse bonne idée, voire une très mauvaise idée ?

Les Délégués du Peuple, comment les choisir ?




Il convient d'être précis, tant l'enjeu est grand, les évènements actuels (transformation du régime politique en France en dictature de fait par ce qu'on appelle « des élus » ) interpellent.


I -- Le choix se fait parmi qui ?
 
_ 1 - Le Peuple en âge de « voter » tout entier
 
_ 2 - Des volontaires
 
_ 3 - Un Peuple « expurgé » (par qui ?) dont sont exclus les délinquants, les criminels, les anciens « élus » ou hauts fonctionnaires décideurs, les banquiers, les grands patrons (toutes personnes susceptibles d'avoir déjà triché sans que cela se sache, par leur position même)

_  4 - D'autres critères encore ?





II - Le choix se fait comment ?
 
_ 1 - Par tirage au sort national (extrêmement lourd)
 
_ 2 - Par tirages au sort locaux (quelle étendue ?)
 
_ 3 - Par vote à bulletin secret (ce qu'on connaît aujourd'hui)
 
_ 4 - Par désignation à mains levées


III - Qui organise ces consultations ?

_ 1 - Les services de l'État ou des collectivités (cas actuel)
 
_ 2 - Des volontaires qui, par leur position d'organisateurs, ne pourront être choisis ensuite
 
_ 3 - Des volontaires qui pourront être choisis malgré leur position d'organisateurs
 
_ 4 - Ou ?.........


On le constate, le tirage au sort n'est que l'une des options pour la désignation de personnes chargées d'assumer un devenir collectif (Assemblée Constituante, éventuellement Assemblées locales, ou aux attributions plus vastes). Ce n'est certainement pas la meilleure, parce que difficilement maîtrisable.

Il risque de mettre en avant des personnes non volontaires, qui ne veulent vraiment pas de cette tâche, qui statueront en dépit du bon sens soit volontairement, soit parce qu'elles n'ont pas cette capacité-là : pire, ces personnes peuvent même se retrouver en très grande proportion dans l'assemblée ainsi réunie, ce qui garantira un beau fiasco.


Il faut imaginer tous les cas de figures. Si c'est un paysan éleveur qui est choisi, qui le remplacera à la tête de sa ferme le temps d'un mandat ? Le même cas se pose pour des patrons de TPE qui auront du mal à trouver au pied levé quelqu'un qui gèrera les employés et les commandes. En fait le tirage au sort risque de désorganiser le tissu fragile de la petite entreprise en général. Même difficulté, pour la mère allaitante après une difficile grossesse. Franchement, le tirage au sort, ce n'est PAS une bonne idée.


Cela revient à constater que, sans pour autant se cantonner aux volontaires, le tirage au sort ne peut s'appliquer qu'à des personnes qui acceptent en connaissance de cause ce qu'implique cette « promotion ». On revient assez vite aux réseaux habituels de personnes pouvant se libérer, ce qui amoindrit grandement l'aspect « tirage au sort égale toutes les couches de la société sont représentées » : cela ne peut qu'être inexact. Autant aménager le système actuel des élections !


Une autre solution pourrait consister en une désignation (hors Partis Politiques,  et ce critère est important) par leurs pairs ou leur entourage de personnes connues pour leur altruisme, et qui acceptent le mandat, sans pour autant avoir demandé à l'assumer. Ce serait bien moins lourd à organiser qu'un tirage au sort. Cela demandera cependant que des volontaires aillent expliquer aux habitants des cités défavorisés, les plus concernés en fait, combien il est important pour eux de proposer parmi eux des délégués qui, parce qu'ils les vivent, sauront porter leurs préoccupations hors de ce vase clos où ils sont (délibérément par le Pouvoir actuel pour une grande part) confinés.


Les débats sont ouverts. Il n'en reste pas moins que, une fois désignés, de quelque façon que ce soit, TOUS les « élus » doivent pouvoir être récusés par le Peuple facilement, dès qu'ils outrepassent de façon patente leur mandat. Actuellement, au niveau des représentants nationaux, la Constitution l'interdit formellement (article 27 alinéa un), et pour les autres élus on retrouve de fait à peu près la même difficulté, parce que rien ne le prévoit.


Au travail...

mercredi 2 novembre 2016

Jours des Morts, commémoration nationale

Une fête religieuse fait de l'ombre à son lendemain, hélas. Aujourd'hui, nous nous souvenons de nos disparus. Ceux que nous avons connus, et qui ne sont plus là. Ceux que des amis ont connus, et qui sont désormais absents. Ceux que des irresponsables, des fous parfois, ont supprimés de la Vie. Ou pire, fait supprimer par d'autres. Les exemples abondent.

Il y a aussi ceux qui se croyaient "indispensables" : les croque-morts sont obligés de les évincer des cimetières, parfois, tant ils sont nombreux, pour en mettre d'autres tout aussi "indispensables" à la place.  La Terre continue de tourner, les réussites d'arriver parfois, les échecs aussi, bien plus souvent.

Le Monde avance sur ces carrières dont les plus tonitruantes sont aussi parfois les plus vite oubliées. L'important, après, ne sont-ce pas les vivants ?


mardi 1 novembre 2016

Les blogs contre ce monde qu'on voudrait nous imposer via "l'Europe"

Souvent, des thèmes apparemment différents ont des similitudes dans leurs causes ou leurs finalités.

Ainsi, bien que je sois sur quatre blogs différents, ils concourent au même résultat.

Celui-ci est un blog généraliste, où de nombreux thèmes ont été abordés au fil des années. S'en dégagent cependant des options politiques, nées du nécessaire, oui, nécessaire combat pour plus de transparence dans la gestion des affaires de l'État, pour une reprise en main par les citoyens de leur propre destin, en commun, parce que les grandes choses se font en équipe.

Les trois autres blogs sont beaucoup plus récents, six mois environ.

L'un d'eux est né de l'adhésion à un collectif inquiet de l'installation intempestive et sans raison apparente d'une nouvelle génération de compteurs électriques ou gaziers, et même d'une transformation des compteurs à eaux chaudes (pour ceux qui vivent dans certains immeubles) et froides.

Au-delà même des multiples inconvénients résumés dans un tableau,




se pose la finalité de ces trois types de compteurs, imposés brutalement ( et parfois même avec une réelle brutalité ) aux citoyens de ce pays et d'une grande partie de l'Europe, et se profile ce que récemment avouait tout de go le président d'ENEDIS, ex-ErDF, Philippe Monloubou : "Nous sommes une entreprise de BIG DATA, avec trente-cinq millions de capteurs". Nous, citoyens, ne sommes même plus citoyens, ne sommes même plus usagers, ne sommes même plus clients : nous ne sommes plus que des capteurs. Des bribes d'info sur pattes.

Ramenés, par la grâce du profilage, à une suite de zéros et de uns emmagasinés par les grandes oreilles de Bruxelles, sur sa volonté expresse, il nous est difficile de ne pas nous rebiffer, n'est-ce pas ?

Le second nouveau blog traite aussi d'une adhésion, celle au cercle nantais de l'Association Pour Une Constituante. C'est très sérieux. L'Association ne veut pas  d'une future "élection présidentielle" de plus en plus contestable par son encadrement juridique empêchant radicalement toute égalité de chance entre deux ou trois poulains de la Finance au programme absent, mais à la présence médiatique continuelle, et le reste des candidats qui, eux, ont généralement un programme (qui dérange les sponsors financiers des premiers). 

Au contraire l'Association propose de réunir une Assemblée Constituante formée de simples citoyens, et se basant sur des Cahiers d'Exigences, un peu à la manière des Cahiers de doléances de 1789.

Enfin, il était nécessaire de monter du doigt la cause de ce côté-ci de l'Atlantique de nos désagréments : BRUXELLES et sa pince de crabe gigantesque formée à la fois de ce qu'ils appellent l'union européenne, et de l'OTAN dont le siège administratif à la forme d'un goût douteux n'en est pas loin. D'où ce dernier blog où sont rassemblés documents, opinions, voire imprécations en vue de contrer cette pince.







Tous ces blogs concourent à la même préoccupation : c'est Bruxelles qui veut imposer au bénéfice de ses sponsors  la couverture via des compteurs, via le profilage bancaire, via les réseaux sociaux pour ceux qui succombent à leur charme, une connaissance complète, pointue, indiscrète de plus de cinq cents millions de personnes : le but est de détecter des velléités d'évasion, de refus, voire plus, et d'influencer ensuite, via des médias "éclairés", toujours plus ceux qui sont malléables. Donc c'est Bruxelles, agent ô combien complaisant de la City et de ses adorateurs d'outre-Atlantique, dont il faut au plus vite se séparer complètement. En même temps, bien sûr, que de ses agents sur place (pas les plus pauvres en général) qui tiennent les leviers de direction ET DE RÉPRESSION.

On y va ?
 

lundi 31 octobre 2016

Rêvons d'un monde

Rêvons d'un monde

Le 15 septembre 2011

Rêvons d’un monde, quelque part vers la fin du XXIe siècle. Dans leurs livres de classe, tous les petits enfants du monde apprennent qu’à la charnière de leur siècle alors finissant, et du précédent, des terroristes ont fait régner une situation insupportable de haine, de meurtres, de morts innombrables afin de contenter leurs amis industriels et banquiers. 

Et puis un jour une sorte de lame de fond populaire, aussi irrésistible que le tsunami exceptionnel du 11 mars 2011 (aux dernières estimations et dans la région d’Iwate, 40m)  a commencé à déferler partout dans le pourtour de la méditerranée, puis s’est étendue au centre du continent africain, au proche-orient, même dans les îles britanniques, et a chassé des autorités débordées et effarées. Même les ultra-sécuritaires États-Unis furent balayés par les plus pauvres, qui en oublièrent leurs différences d’origines.
Les noms de ces terroristes, caracolant sous la bannière du dieu Marché ? Blair, Rumsfeld, Uribe, Rice, Cheney, Bush, Sarkozy, Thatcher, Hollande, Brown, Cameron, Lévy (BH), Copé, Clinton (Hillary), et d’autres encore. Pêle-mêle, ils furent incarcérés dans une prison unique, de haute sécurité, et là on les oublia pour travailler à rebâtir sur les ruines qu’ils avaient laissé.
Chose remarquable, depuis cette période fétide aucun nom ne se distingua plus politiquement, chaque citoyen étant désormais partie prenante des décisions prises. La percée d’Internet même dans les régions les plus reculées de l’Afrique autrefois sous tutelle, permit à chacun de prendre connaissance des questions à résoudre, et de prendre part aux décisions  concernant sa région.

N’est-ce qu’un rêve ?

jeudi 27 octobre 2016

Impôt et grandes fortunes

C'est une dépêche de l'AFP ce matin : un sondage précise que 72 % des Français sont contre la suppression de l'impôt des riches.

On précise que nombreux sont ceux qui déplorent que certains échappent à cet impôt en partant à l'étranger.

Il y aurait cependant une solution simple à cette évasion : TOUS les revenus engrangés sur le territoire français ne peuvent être utilisés de quelque façon que ce soit que sur notre sol. Ainsi les expatriés fiscaux se retrouvent avec .... plus rien ! Dommage pour les Mulliez, par exemple, mais pour beaucoup d'autres aussi, tels certains sportifs.

De même les multinationales ne peuvent plus, dans ce cas de figure, arbitrer  leurs revenus en France avec des pertes dans d'autres pays.

Comment parvenir à ce résultat ? Un Parti propose tous les outils dans son programme de gouvernement, soutenu par son candidat à la présidentielle Jacques Nikonoff. Il faut et il suffit de sortir brutalement de l'union européenne, et de créer une monnaie NON CONVERTIBLE, peu importe son nom. Pour les détails, se rapporter au programme détaillé.


billet mis en service le 7 février 1957


Il y a un souci : le PARDEM n'a pas la possibilité d'expliquer ce qu'il veut faire dans les grands médias, il est fui comme la peste par leurs financiers de patrons qui seraient ruinés, évidemment.

Appel aux élus locaux : le Pardem a besoin de tous vos parrainages, pour présenter son poulain à l'élection "suprême", malgré tous les tracas apporté par la loi que celui qui est maintenant garde des sceaux avait réussi à faire voter quand il était encore député. Le fait que désormais c'est à vous, volontairement, d'envoyer votre parrainage à la commission électorale, le fait que cette initiative sera désormais publiée,  tout est fait pour que vous hésitiez à vous lancer. Ne  vous laissez pas intimider !

Vingt dieux... et des poussières

Les politiciens actuels devraient un peu réfléchir à cette laïcité qu'ils torturent pour tuer notre tissu social. Ils scient la branche qui leur apporte tant de bienfaits.

 

Vingt dieux... et des poussières

26/04/2010


icone othodoxeL’entité Dieu a été inventée par des hommes. Pas grave, c’est leur affaire. Si certains pensent nécessaire d’avoir un Quelquechose qui les transcende pour être heureux, et lui parler comme à un psychiatre pour se sentir équilibrés, pourquoi pas ? En revanche, s'ils sont prosélytes au point de prêcher partout ce qu'ils considèrent comme "la bonne parole", il descendent au même niveau que les politiciens, et ce n'est pas un compliment.

Les religions occidentales (à la différence de leurs homologues orientales, généralement plus philosophiques et moins tyranniques) sont surtout des façons pour un encadrement plus ou moins lâche, de mener des humains dans un certain sens. Souvent, elles sont très liées avec le pouvoir temporel, et la synergie fonctionne bien entre eux. Autrefois, en particulier dans le judaïsme ancien, allaient de pair le grand-prêtre, et le chef de guerre. C'était un binôme très fréquent. Parfois, un seul personnage occupait les deux fonctions, le Roi : tels David ou Salomon.

La laïcité, et là-dessus les opinions divergent, se devrait de renvoyer soigneusement les religions dans la sphère privée. Il faudra noter d’ailleurs, que l’Islam là-dessus, et le judaïsme également, sont plus discrets qu’un christianisme arrogant et souvent tyrannique. Voir ce qui se passe aux Etats-Unis, qui ont une laïcité théorique, mais où les religions chrétiennes (puisque pour eux les sectes sont des religions) sont pour le moins envahissantes, voire plus encore.

Le Pouvoir actuel en France, pas du tout neutre, aurait intérêt à méditer sur ces obligations dont nos ancêtres d'il y a un siècle ont codifié et entériné le bon usage. Il a délibérément mis la laïcité entre parenthèses, afin de jouer à exacerber des antagonismes, au lieu d’être un arbitre, négociateur discret, impartial et éclairé. Les républicains ne lui diront pas merci.

BO

mercredi 26 octobre 2016

La grande misère de la politique

Cet article a cinq ans, il n'a pas pris une ride : ce n'est pas forcement de bon augure. Rappelons-le ici.

Lundi 14/06/2011 17h30


L'Histoire nous l'a démontré tout au long de son déroulement. Ceux qui, par le hasard de la naissance, ou parce que le destin les a portés en position de décider pour les autres, ou même parce que des élections dites "démocratiques" les ont amenés à ce poste, ont souvent brillé par leurs défauts plus que par leurs qualités, par leurs exactions plus que par le sérieux de leur engagement envers le peuple.

honnêteté
De Néron à Philippe le Bel, des Borgia aux souverains espagnols confrontés au Nouveau Monde, car les exemples pullulent, rares ont été les souverains dont la probité pouvait être louée. Peut-être pourrait-on citer Haroun al Raschid, ou le grand Cyrus... Et parmi les élus, il semble que De Gaulle pouvait se parer de cette qualité.
Pour l'époque la plus actuelle, il est préférable de se voiler la face, tant la situation est loin de cet idéal. Serions-nous revenus à cette époque dépravée que fut la Régence ? Non, probablement celle-ci est-elle allègrement dépassée dans la course au gain le plus grand dans les délais les plus brefs. Quant aux noms de ceux parmi les élus ou les décisionnels pour lesquels des enquêtes ont été lancées à leur encontre, leur énumération ressemble plus au Bottin qu'à la liste de la ménagère. C'en est au point qu'un changement s'impose au niveau mondial, tant ce qui est toujours au moins un délit ressemble presque, désormais, à la règle.
C'est d'autant plus grave, que cette malhonnêteté s'étend à la fois sur un défaut de probité généralisé, et sur une façon cynique de s'asseoir sur ses propres engagements, en regardant ailleurs. La confiance est exigée, sans rien en retour qui pourrait la justifier, hormis la force.

humilité
Quand vous prenez en charge le sort des autres, une grande responsabilité pèse sur vos épaules, que vous en soyez conscient, ou pas. De vos actes les plus infimes, en apparence, dépendra le sort de centaines, de milliers, voire de millions de personnes qui vous auront choisi, parfois, mais la plupart du temps qui subiront vos décisions. Tenir compte de ce facteur pour œuvrer au plus juste requiert de l'honneur bien sûr, mais aussi une grande humilité pour oser écouter les critiques, et en tenir compte. L'arrogance, à ce stade, est une catastrophe que tout le monde paye cher.
C'est pourquoi il faut accepter, parfois de se dire que dans ses décisions on s'est trompé, et même l'admettre publiquement afin d'opérer un changement d'orientation, s'il est encore possible. S'il ne l'est pas, il ne faut pas hésiter à trouver une solution peut-être pas idéale, mais meilleure que celle de l'intransigeance.
Sans vouloir être méchant, il n'est pas certain que la grande majorité des exigences mises en pratique au sommet de l'État depuis pas mal d'années déjà, assument cette nécessaire humilité.

solitude
Celui qui accepte cette charge de conduire d'autres personnes, qu'il le veuille on non, est comme le capitaine d'un navire "le seul maître à bord". Il peut s'entourer de conseillers, au nombre parfois pléthorique. Il peut laisser le vote des lois à débattre aux représentants du peuple, ces lois le plus souvent émanent en premier chef de lui-même, et en dernier ressort c'est lui qui signe leur promulgation. Avec des mécanismes un peu différents, aux différents étages de la pyramide des pouvoirs géographiques c'est à peu près le même processus.
Naturellement, ceux qui auront mis en place le plus grand nombre de conseillers auront tendance à se reposer sur eux pour initier la plupart des projets, ceux qui intéressent moins "le grand Homme". C'est une sorte de lâcheté. En revanche, les idées parfois fulgurantes et pas forcément adéquates auront la priorité, et dans ce cas de figure le solitaire se transformera en dictateur pour une décision. Et vivent les critiques !
En tout cas, l'honnête, l'humble, celui qui fera ce travail parce que c'est son devoir, et non parce que cela l'amuse, aura pour lui une grande solitude au cœur.

charisme
Parfois, des décisions seront à prendre, dont l'auteur saura qu'elles sont vraiment nécessaires pour le bien de tous à moyen ou long terme. Celles-là, il lui faudra les expliquer, et les expliquer encore, en toute honnêteté, en toute humilité. Mais en même temps, il faudra faire preuve de charisme pour imposer aux inévitables détracteurs les vues initiant cette décision, et les modalités de celle-ci.
Particulièrement dans ces circonstances-là, la ou le dirigeant(e) se sentira bien seul(e). Même si ses conseillers opinent, et approuvent le raisonnement menant à cette décision, il sera nécessaire d'obtenir de la part d'une fraction large des personnes concernées un assentiment, qui pourra souvent être teinté d'inquiétude et de fatalisme. Éloquence, sûreté dans le maintien, le regard et la voix seront des moyens nécessaires à faire partager ses vues au plus grand nombre.
C'est pourquoi, pour de tels moments, il sera incontournable de "descendre dans l'arène", de se montrer seul en public, et seul contre tous de montrer que le gouvernail est tenu fermement et avec discernement. L'exercice est déconseillé aux hésitants, aux peureux, à ceux qui sont là pour la prébende, et non pour tout simplement diriger.

vision à long terme
De telles prises de risque en public sont habituellement réservées à des projets longs, de ceux que, faute d'en avoir tous les éléments, le commun des mortels a du mal à appréhender, à admettre, à accepter. C'est pourquoi une politique hardie doit se préparer, s'analyser, s'intégrer dans une vision de l'avenir cohérente, et bénéfique pour la majorité.
En lieu et place de réaction, comme procèdent certains au coup par coup en pleine incohérence, il faut prévoir des actions qui auront des effets dans cinq, dix, vingt ans, voire plus. Il faut inscrire dans la durée, concernant certains actes, une vraie politique du futur. Exercice difficile, demandant beaucoup d'implication, de travail, mais exercice indispensable à la gouverne d'un État, s'inscrivant dans la durée. Heureusement, dans la genèse de tels projets, des conseillers bien choisis, mais pas trop nombreux sauront donner du corps à ce qui peut n'être au départ qu'une idée minuscule.

souci du détail
Pour éviter le désagrément de décider l'épée dans les reins, même les grands projets devront entrer dans les détails le plus possible, dès le départ. Ils n'en seront que plus cohérents dans leur application, que plus faciles à expliquer, que plus passionnants à ciseler.
Et puis, entrer dans le détail permet aussi de rester au niveau du simple citoyen, de prendre en compte l'impact que ce projet a pour lui personnellement. Cela aide le décideur à garder les pieds sur terre, à rester humble jusqu'au bout, à garder honneur et probité face à la condition de personnes plus vulnérables. Sans s'y noyer au point de perdre le fil directeur, les détails s'imposent.

grandeur et misère
Le vrai politique, celui qui est là parce que d'autres l'ont choisi, ne peut pas être heureux. Il sait que tôt ou tard il fera des erreurs. Selon sa place dans la société ces erreurs auront plus ou moins d'impact, sur plus ou moins de personnes. Il devra l'accepter, même si cela lui fait mal, surtout si cela lui fait mal. Ce sera pour lui une grande misère, parce que malgré tout il lui faudra continuer, parce que parfois d'autres erreurs inévitables interviendront : il lui faudra à la fois en réduire l'impact par d'autres décisions, et en même temps préparer d'autres décisions avec sérénité et sans faiblir.
Cette misère est en même temps ce qui fait la grandeur du décisionnaire, qui doit constamment maîtriser ses peurs, ses doutes, ses penchants incompatibles avec sa fonction ou sa dignité, pour offrir toujours le meilleur à ceux qui ont confiance en lui, et plus encore à ceux qui n'ont pas confiance. La grandeur est dans l'adversité, la bourrasque et le gros temps.
sabre au clair

Rémi Fraisse est mort ce matin

Voici cinq heures (et deux ans) que Rémi a été  victime d'un meurtre, comme d'autres avant lui, hélas.

Victime d'un meurtre, en raison de ses principes de vie, comme tant d'autres !

Souvenons-nous des massacres des canuts en 1834 !

Souvenons-nous des massacres qui ont écrasé la Commune de Paris en 1871 !

Souvenons-nous des grévistes tués à bout portant par l'armée en 1909 à Villeneuve Saint Georges, sous l'ordre de Clemenceau !

Souvenons-nous des objecteurs de conscience de 1917 !

Souvenons-nous des syndiqués tués en France le 1er mai 1919 !

Souvenons-nous des Algériens massacrés en France d'outre-mer, le 8 mai 1945 à Sétif et Guelma !

Souvenons-nous d'Édouard Mazé, tué à Brest le 17 avril 1950 !

Souvenons-nous des militants du FLN  (entre 32 et 300) qui perdirent la vie à Paris le 17 octobre 1961 !

Souvenons-nous, l'année suivante, des 9 morts de Charonne !

Souvenons-nous de Malik Oussekine, tabassé à mort le 6 décembre 1986 !

Souvenons-nous de Christian Dorévo, abattu à Marseille en février 1988 !

Souvenons-nous d'Aissa Ihich, mort en garde à vue le 25 mai 1991 !

Souvenons-nous de Makomé M'Bowolé, 17 ans, exécuté dans l'œil le 6 avril 1993 !

On ne parle pas là, bien sûr, des très nombreuses autres personnes qui furent estropiées à vie.

Les "représentants" de l'État se prennent pour l'État lui-même (c'est nous, l'État), et répriment au nom de leurs propres intérêts et de ceux de leurs amis et sponsors (de plus en plus).

Allons-nous longtemps accepter l'inacceptable ?









vendredi 16 septembre 2016

La rentabilité, ils n'ont que ce mot à la bouche

Qu'est-ce que « la rentabilité » ? C'est la possibilité pour certains de « mettre de côté » un facteur d'échange de biens au détriment de tous. C'est donc un exercice pervers de chercher la rentabilité d'abord, au détriment de la vie même.

Je pense à un exemple extrême : celui de multinationales comme Cargill qui imposent à des Africains vivant de leurs cultures vivrières, manioc, mil et autres, de les délaisser au profit d'arachides ou autres produits « vendables ». Payés un prix dérisoire, souvent au-dessous du prix de revient réel, ces Africains n'ont que la solution d'acheter l'huile provenant de leurs plantations (sauf qu'on ne vit pas que d'huile) à un prix très supérieur à leur production initiale. Ou ils meurent de faim. Pendant ce temps-là, les liquides sont entreposés dans d'immenses cuves rappelant celles du pétrole, quitte à organiser la pénurie, et les immenses quantités ainsi stockées ne sont relâchées qu'au moment où le cours est jugé le plus favorable - donc le plus haut. Mais qu'on ne s'y trompe pas : même sur les produits de base, les banquiers, encore eux, sont les premiers spéculateurs.


réservoirs de Cargill à Saint Nazaire - là on n'en voit que quelques-uns

Il est clair, archi-clair, que “le capital” ne sert strictement à rien dans la création de richesse. Les capitalistes stockent, échangent et vendent du néant, et presque personne ne s’en rend compte. Le paradoxe est immense. Il est même en train de nous tuer au nom de son aberration, en tuant aussi la Terre qui est la seule dispensatrice de richesses – les humains se contentant de les extraire, de les transformer, et d’en jouir s’ils en ont le temps. N’est-ce pas une histoire de fous ?