AFP le 25-04-2012 à 17h52- Mis à jour à 19h03
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Les Sages ont [en outre] considéré que, "si certains des candidats se sont présentés à l'élection sous un prénom ou un nom qui n'est ni celui de leur état civil ni celui dont ils ont l'autorisation de faire usage en vertu de la loi, cette circonstance ne saurait, en l'absence de toute confusion possible sur leur identité, être regardée comme ayant pu induire en erreur le corps électoral".
La dépêche est lisible in extenso ici.
L'allusion est claire : parmi les candidats, il en est, selon des sources concordantes et multiples, qui se seraient inscrits sous un nom d'usage non entériné par une décision de justice.
La Justice se réserve donc le droit, qui reste entier, de les mettre en accusation pour falsification d'identité. S'agissant tout de même du principal personnage de la République, l'affaire est d'autant plus grave. L'un d'eux a tout de même accompli un mandat ainsi (mais reste intouchable, ô paradoxe, aussi longtemps qu'il assure la fonction).
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