Rechercher dans ce blog

vendredi 29 juin 2018

La serrure Syrie fera-t-elle trébucher les anglo-saxons ?

La Syrie est un point important dans la politique mondiale, parce tout simplement elle est placée là. Le plan Sykes-Picot de 1916 a créé le problème tel qu'il existe aujourd'hui, en démembrant l'empire ottoman. On notera que ce sont les Anglais qui en sont la source, ils savaient ce qu'ils faisaient, et comptaient bien manœuvrer tout le monde à leur avantage. Rien n'a changé, même si apparemment c'est Washington qui paraît avoir pris le pas sur Londres. Les puissances maritimes (les USA se considèrent comme une île) continuent à semer leurs graines de désordre et de menaces de guerre, comme ils l'avaient fait en 1898 (c'est encore plus ancien) à Fachoda, village situé aujourd'hui au Sud-Soudan. A l'époque c'était Cecil Rhodes qui "menait le bal". Les Anglo-saxons veulent régner sur les mers pour régner sur tout le reste.

Aujourd'hui, enfin, il semble qu'ils soient en perte de vitesse, mais rien n'est joué encore. Pour eux un accord ne vaut que le temps où il est à leur avantage : s'il ne l'est plus, l'accord est vain, et ils n'en tiennent pas compte.  Ils ne le diront pas, ils agiront. J'ai découvert une série de manœuvres terribles qui sont de leur fait, où ils ont fait en sorte que le monde se déchire devant leurs yeux. C'est là.  A "déguster" à petites doses. Article par article.

L'Afrique n'est que l'un de leurs champs de manœuvres, où ils sont moins omnipotents qu'ailleurs. L'Asie du Sud-Ouest en est un autre. Je ne parle pas de l'Europe, où ils sont en pays conquis (et même pas "comme" en pays conquis).

Comment ces choses peut-elles perdurer ainsi ? J'y ai réfléchi, et je pense que leur système éducatif en est la cause. Toujours paradoxal d'ailleurs. Ainsi ce qu'en Grande Bretagne on appelle les Public Schools, ce sont les écoles privées. Celles-ci prennent les éléments humains qui leur paraissent bénéfiques, et par un subtil (!) mélange de brutalités et de perversions, façonnent les fourbes de demain. Ce n'est pas anodin, si le film "If....." de 1968 n'est plus accessible qu'en anglais. Il démontait le système éducatif de haut de gamme avec brio, et ce n'était pas beau à voir.

Il est d'ailleurs curieux qu'une chanson serve de leitmotiv dans ce film : c'est un extrait de la "Missa Luba" chanté par des enfants du Congo ex-belge, que l'acteur principal remet toujours sur son tourne-disque de l'époque.




Je pense que les "universités" de la Ivy League, Yale en tête,  ont repris aux États-Unis cette façon éducative (sic) complétée par leurs sociétés secrètes : la Skulls and Bones est célèbre. Pas forcément en bien !

Nous sommes loin de la Syrie, et pourtant, non. C'est dans ces écoles brutales que renaît chaque année un certain état d'esprit néfaste pour le monde entier, et la Syrie est une des clés de ce monde.

dimanche 10 juin 2018

La France des valeurs ? Quelles valeurs ?

La France est avant tout sa langue, elle s'est construite en même temps que celle-ci. Les politiciens (TOUS les politiciens)  se gardent bien de le rappeler.

C'est le cas pour tous les pays, d'ailleurs.  Les valeurs sont intimement liées à la manière d'en exprimer l'essence. Il ne s'agit bien entendu pas de monnaie, d'argent, de commerce, encore moins de finance, sauf, et c'est important, pour les anglo-saxons en particulier d'Amérique du Nord, pour qui justement les seules valeurs sont celles qui ont une connotation liées à la possession, et non à l'être.

A partir de ces valeurs faussées, ceux-là ont bâti un monde où ils veulent englober tous les autres, DE GRÉ, ou DE FORCE. Ils ne "brillent" que sur ces critères-là, alors forcément...

Oui, la France a des valeurs, des PRINCIPES. Ces principes s'expriment EN FRANÇAIS, et pas autrement. Ce n'est pas d'hier.




Quiconque va contre cette base essentiel est un traître, un assassin de civilisation, un criminel contre l'humanité. Car tuer UNE langue au bénéfice d'une autre qui veut régner à sa place, c'est les tuer toutes.  De même que, comme cité dans ce journal, « défendre une langue, c'est défendre toutes les langues ».

Le Globiche, ce parler monstrueux, très approximatif, qui se présente comme une langue anglaise authentique, ressemble à celle de Shakespeare et de Lord Byron comme une compression de César ressemble à un vase de Sèvres. Il ne s'agit bien entendu pas de dénigrer César, mais de démontrer combien c'est différent.

Il va donc falloir prendre parti. On ne peut pas ne pas prendre parti, sauf à se traiter de lâche chaque matin devant son miroir, dès que l'on a ENTENDU que l'engagement a un sens.

¤ SOIT chacun s'applique à refuser d'employer tous ces mots nouveaux et souvent incompréhensibles, qui fleurissent sur les publicités, les devantures, dans la bouche des « journalistes »,  des commentateurs, des animateurs, des politiciens, des autoproclamés philosophes de tous poils

¤ SOIT le « bon peuple » endormi, vaincu, résigné, anéanti répète ces mots incompréhensibles, nés d'autres “valeurs” basés sur la finance et le juridisme anglo-saxon. Oh oui,, de plus ces mots-là, “cela fait moderne, tout le monde (ah bon ?) les utilise, et tout va bien”.

Les “valeurs” anglo-saxonnes sont ce qu'elles sont, mais ce ne sont pas les nôtres. Le système judiciaire de même provenance est le plus souvent en opposition avec le nôtre, c'est très grave. Si on l'accepte, on accepte d'être dominé par celui-ci, parce que "les autres" n'auront aucun scrupule pour s'en servir dans ce sens. Fini le Code, bonjour la jurisprudence permanente où le plus riche gagne toujours !

Bien entendu, la seule façon de vraiment s'en sortir est de quitter l'union européenne, que le Peuple Français a refusée le 29 mai 2005, et qu'un coup d'État nous a imposée un peu plus tard. Par ce fait même de coup d'État, il n'est même pas nécessaire de chercher des arguties juridiques : les conventions internationales le permettent de plein droit et sans retard. Surtout que personne ne sorte l'article 50 d'un TUE qui pour nous français ne compte absolument pas.

Il suffira (mais ce ne sera pas si facile)  de mettre dehors cette camarilla de politiciens véreux, de financiers malpropres, et autres comparses, pour que le Peuple Français reprenne la main sur ses institutions, monnaie et budget en tête bien sûr. Au début il y aura quelques tâtonnements même si des idées sont déjà fermement rédigées et développées.

Vive la langue française ! Vive le retour de la prééminence du Peuple, qui exista du 10 août 1792 au 30 juillet 1794.

N.B.
Il ne s'agit pas là de la polémique à propos de ce que les politiciens appellent "l'invasion des gens de couleur", parce que cette "invasion" est organisée à  prix d'or par quelques milliardaires pour désorganiser le Peuple, le rendre malléable. L'empêcher de prendre conscience des vraies données.  Tous les médias (possédés eux aussi par des milliardaires) pousseront dans ce sens.  Cela implique qu'il ne faut pas se tromper d'ENNEMI.