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mercredi 18 avril 2012

Terrorisme, lucre et sionisme

C’est curieux : il n’y a qu’UN terrorisme international, celui perpétré jour après jour par les grandes Puissances du Nord, mais celui-là, officiellement, n’existe pas. C’est un peu comme si vous alliez tous les jours cogner votre voisin, et quand celui-ci se plaint "Arrête, s’il-te-plaît !", vous lui reprochez de répondre.

Seule difficulté, on ne sait pas en fait quelle peut être la motivation de ce terrorisme, hors une histoire de (très) gros sous représentés par du pétrole en particulier. Les idéologies, pour autant que je sache, ne sont que des prétextes. Sans doute des adeptes chauffés à blanc par la propagande se prennent-ils vraiment au jeu, au point de penser qu’une religion, par exemple, peut mener le monde.

La source de tous les maux, il faut la chercher du côté des bords de la Tamise, encore aujourd’hui, et accessoirement du côté de Wall Street. Rien n’a changé depuis Lord Balfour, malgré soixante-dix millions de morts, voire plus. Le pétrole a pris encore plus d’importance, pour des Picsou qui possèdent à eux tous cent fois les richesses passées et futures de notre pauvre Terre. C’est dire combien cette posture sombre dans le ridicule le plus fangeux et le plus pestilentiel.
Le bon sens est la chose au monde la mieux partagée : car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux mêmes qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose, n’ont point coutume d’en désirer plus qu’ils n’en ont.
René Descartes énonçait cette vérité dans son Discours de la méthode en 1637. Il est patent que les choses n’ont guère changé depuis. Les politiciens se drapent dans de belles formules pour rendre présentables leur esprit de lucre, et leur agressivité, leur volonté de puissance. Ces deux facteurs ont uni pour le pire le sionisme de quelques illuminés généralement non-juifs (ils ont trouvé des adeptes depuis) et surtout l’ambition de maîtriser tout le commerce et ses juteux à-côtés.

En mourrons-nous tous, sur Terre ?

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