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lundi 28 décembre 2015

Le terrorisme légal s'étend sur le monde

Il y a déjà pas mal de temps que j'ai fait le parallèle . Il ne peut pas y avoir de doute. Entre l'État Français de 1940-1944 et le proconsulat actuel, c'est le même cadre "légal" qui s'applique. Même Sarkozy n'était pas allé aussi loin. La conjonction d'un ancien "Young Leader", d'un article d'importation franquiste et de plusieurs Sayanim est explosive. Comme le chef de l'État est aussi le chef des armées, on se retrouve avec une armée d'occupation sur les bras, renforcée par les structures de la Guardia Civile du même type que les hordes (GMR) de Pucheu de sinistre mémoire .
 
Bien malin, qui pourra démontrer le contraire. C'est le monde entier qui retombe très bas, avec les nouvelles figures en Argentine et au Venezuela (changement de majorité législative), et depuis un certain temps un nouveau président en Iran, le fameux Rohani qualifié par les "Occidentaux" de modéré : la chape de plomb soulevée un peu par l'ancien président Mahmoud Ahmadinejad est retombée. Même constat très pessimiste en Turquie, où le renouveau de l'ère Kémal est bâillonné par un extrémiste là aussi. De quel côté qu'on se tourne, le pire est en train de gagner . Heureusement, la Russie a fait le bon choix.
 
Pendant ce temps-là, les consommateurs consomment, il n'y a plus une seule grève, les médias ne parlent que d'élections de Miss quelque chose.....  Au secours !

5 commentaires:

  1. Bonjour J-C. "Au secours !" reste quasiment un privilège tant ça baillonne dur partout !

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    1. Tu as bien raison Rodo : beaucoup ne peuvent même plus le crier....

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  2. "Il n'y a plus une seule grève." Il me faut te contredire ou bien préciser qu'il n'y a plus une seule grève dans les journaux. Voici peu je n'ai eu connaissance d'une grève dure dans ma ville qu'après sa fin provisoire. (Les grévistes vont remettre ça durant l'année qui vient.) Pas une seule ligne, pas un seul mot prononcé ! Le copain qui m'en informe me dit sa rage devant le mur du silence... Un journaliste d'un quotidien local est venu, a fait des photos, a écrit un article. Et a ensuite informé les grévistes que le rédac chef a fait l'impasse et demandé en conf de rédaction que "l'on ne s'occupe pas des affaires privées."

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    1. C'est le grand problème : un évènement que les médias ne relatent pas, c'est bien comme s'il n'avait jamais existé. Et au rédac'chef de ce journal, un journaliste un peu plus hardi aurait pu répondre qu'au contraire, une grève, c'est une affaire terriblement publique, et dont il faut rendre compte sous peine justement, de n'être pas journaliste. Un rédac'chef qui exige cela, c'est à lui qu'il faut dire de rendre sa carte à laquelle il ne fait pas honneur.

      Vu l'état des choses, évidemment, le journaliste qui oserait admonester ainsi son chef risquerait sans doute au moins une réprimande, voire pire.

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    2. le pire ;le placard

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