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mardi 14 août 2012

NATO, North American Terrorist Organization

De plus en plus le Monde Libre (le vrai, pas celui magnifié par la propagande) est attaqué, humilié, par un complexe terroriste intitulé NATO (North American Terrorist Organization), basé de fait à Langley (Virginie) et dont les ordres arrivent en droite ligne du 1600 Pennsylvania Avenue, soit un curieux bureau ovale. Ses financiers ? Ils ne manquent pas, il suffit de chercher dans l’annuaire de Manhattan, à la rubrique banques.

Une bande de tarés, maffieux, bas du front, a juré de ramener les civilisations mondiale à un niveau minimal, qui est celui de l’environnement (non, lui, ce n’est pas une civilisation) qu’ont institué les assassins des centaines de nations amérindiennes.Un environnement où le Colt et le fusil à pompe tiennent lieu de facteurs de culture, où ce qui n’est pas American n’existe pas, où le drapeau tient lieu de valeurs sociales. Les plus démunis, de plus en plus nombreux, sont conviés à mourir en silence : dans ce pays magnifique, celui qui n’est pas déterminé à écraser pour dominer, est un pleutre qui ne vaut pas de vivre. Pareille violence de mœurs, dans l’esprit, n’existait même pas, soyons-en persuadés, au temps de Genghis Khan. Il s’agit là d’une récession monstrueuse liée à la formation aberrante d’un pays sur les ruines des civilisations qu’il a annihilées. Il a pris bien garde à ne pas intégrer les différents immigrants venus de toutes parts investir des terres dites "vierges" (en faisant fi des cimetières indiens), par rapacité ou par nécessité (chassés pour des raisons religieuses ou fuyant l’arrestation), mais aussi les descendants d’anciens esclaves "libérés". Entre les différents ghettos, c’est assez logiquement, souvent la guerre. Les pires de ces ghettos, les plus hermétiques, sont bien entendu ceux des très riches, ceux qui peuvent entretenir des armées de protection. Bien entendu, les neuf dixièmes de la population ne sont en rien responsables de cette régression.

Voilà donc ce "modèle", cette plateforme de la liberté, où la liberté est conditionnée par les armes, et qui veut s’imposer partout. Plus fort, elle a réussi à implanter au proche-orient un pseudopode tout aussi violent, dans des conditions similaires. Plus fort encore, parfois l’impression prédomine que ce soit ce pseudopode qui induit la politique du corps principal, comme une queue qui ferait balancer le chien.

Souvenez-vous de ce sigle : NATO. C’est la pire menace à l’avenir même de l’Humanité, depuis la naissance de celle-ci. Car ne se préoccupant que de son présent immédiat, elle détruit le passé (voir en Irak ou, par filiales genre Al Qaeda interposées, au Mali, en Afghanistan...) pour tuer l’avenir.

1 commentaire:

  1. Alain Losco (lino83)16 août 2012 à 00:18

    exigeons du fromage mou qu'il retire la France de ce "machin"

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