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mercredi 22 juillet 2015

On ne saurait mieux dire - à propos des USA, et de la prescience de De Gaulle

Sputnik.fr, en la personne de Nicolas Bonnal, énonce ce que le Grand Charles avait compris il y a plus de soixante-dix ans. Il est dommage que ses successeurs, tous ses successeurs, aient oublié le message.


Un extrait de choc :


« La France a été traitée comme un paillasson! Churchill m'a convoqué d'Alger à Londres, le 4 juin, il m'a fait venir dans un train où il avait établi son quartier général, comme un châtelain sonne son maître d'hôtel. Et il m'a annoncé le débarquement, sans qu'aucune unité française n'ait été prévue pour y participer. Nous nous sommes affrontés rudement. Je lui ai reproché de se mettre aux ordres de Roosevelt, au lieu de lui imposer une volonté européenne (il appuie). »


Et on voudrait que les Français qui ont compris (oui, il y en a) laissent l'avenir entre les mains de CES GENS-LÀ : il faudrait être fou, fou et inconscient, ou fou et esclave volontaire moyennant quelques piécettes.

Certains s'obnubilent sur les sionistes, et rien qu'eux. C'est passer pour négligeable la volonté quasi immémoriale de domination de la Couronne britannique et ses avatars. Relisons l'ouvrage de 1930 de Francis de Croisset "Nous avons fait un beau voyage". Sous des dehors humoristique, un Français un peu naïf - en apparence - décrit l'Inde soumise aux Britanniques, à leur mode de vie (je n'ose dire leur culture), à leur volonté de domination "comme si c'était naturel, dans l'ordre des choses". Rien n'a changé, ou si peu. C'est toujours la City de Londres qui régit financièrement "le monde civilisé" selon ses critères.

2 commentaires:

  1. Merdre, je suis démasqué ! Cela rejoins une idée que j'avais lancé sur internet qui n'a pas fait long feu étrangement.

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