Face au péril que veut nous imposer la social-démocratie, il va être nécessaire de lui extorquer la nécessité d'un référendum sur l'Europe libérale existante et tout ce que, jusqu'à présent, "des élites" ont volé à l'ensemble des citoyens.
Commission Européenne, Bruxelles |
Pour réussir à imposer cette idée de référendum, il sera nécessaire que toutes les forces de gauche s'allient ensemble, par-delà leurs divergences idéologiques. Si nous restons en mode dispersé comme actuellement, nous ne serons rien, et tout le monde sera balayé.
Quand je dis "toutes les forces de gauche", je comprends bien sûr tout ce qui est à gauche de cette prétendue "gauche" qu'est le parti dit sérieux, mais qui est surtout sérieusement droitisée. Ne comptons sur personne de ce parti pour se joindre à ce grand mouvement d'action unitaire, ceux qui ont suffisamment pris en compte la vraie nature de la gauche sont déjà partis, et des Filoche persistent et signent en restant dans une formation perdue, idéologiquement. En voir arriver maintenant pourrait simplement signifier qu'ils agissent ainsi par opportunisme, et non par conviction.
Actuellement l'appartenance à la gauche ne peut apporter que du sang et des larmes, mais aussi un espoir pour tous. Rien pour contenter des ambitions personnelles. En revanche, si une dynamique unitaire se dessine, de petits malins pourraient se détacher du mouvement actuellement au pouvoir, afin de faire "leur trou". Trop tard. Qui pourrait oublier les trahisons (le mot n'est pas trop fort) que constituèrent les abstentions massives à propos du traité de Lisbonne et du MES, par exemple ?
Face à ceux-là, il faudra une union exemplaire. Pas d'états d'âme, pas de divisions, de préséances, de querelles de chapelles. Des ego devront se ravaler face à l'effort commun et coordonné. La Gauche, c'est "Tous ensemble". Faisons-la. Que cela soit notre serment du Jeu de paume. Aux armes, citoyens. Nos armes, ce seront les idées de gauche, tout simplement. Des idées simples comme la terre et le ciel, des idées aussi grandes que ceux-ci, comme la fraternité, le partage, et l'égalité appliquée à tous.
Quand je dis "toutes les forces de gauche", je comprends bien sûr tout ce qui est à gauche de cette prétendue "gauche" qu'est le parti dit sérieux, mais qui est surtout sérieusement droitisée. Ne comptons sur personne de ce parti pour se joindre à ce grand mouvement d'action unitaire, ceux qui ont suffisamment pris en compte la vraie nature de la gauche sont déjà partis, et des Filoche persistent et signent en restant dans une formation perdue, idéologiquement. En voir arriver maintenant pourrait simplement signifier qu'ils agissent ainsi par opportunisme, et non par conviction.
Actuellement l'appartenance à la gauche ne peut apporter que du sang et des larmes, mais aussi un espoir pour tous. Rien pour contenter des ambitions personnelles. En revanche, si une dynamique unitaire se dessine, de petits malins pourraient se détacher du mouvement actuellement au pouvoir, afin de faire "leur trou". Trop tard. Qui pourrait oublier les trahisons (le mot n'est pas trop fort) que constituèrent les abstentions massives à propos du traité de Lisbonne et du MES, par exemple ?
Face à ceux-là, il faudra une union exemplaire. Pas d'états d'âme, pas de divisions, de préséances, de querelles de chapelles. Des ego devront se ravaler face à l'effort commun et coordonné. La Gauche, c'est "Tous ensemble". Faisons-la. Que cela soit notre serment du Jeu de paume. Aux armes, citoyens. Nos armes, ce seront les idées de gauche, tout simplement. Des idées simples comme la terre et le ciel, des idées aussi grandes que ceux-ci, comme la fraternité, le partage, et l'égalité appliquée à tous.
En effet, le combat contre le futur traité européen sera très important, et il ne faudra pas compter sur le PS. C'est dire la difficulté et la nécessité que les autres forces de gauche parlent d'une seule voix.
RépondreSupprimerLe Front de Gauche en France, Syriza en Grèce sont des "alliances des forces de Gauche".
RépondreSupprimerT'as vu les résultats aux élections ?????
Je ne pense pas, Nadine, qu'il faille raisonner ainsi. En Grèce comme en France, les forces de gauche ont avancé en ordre dispersé : le KKE a refusé de s'allier même provisoirement avec une formation pourtant fort proche de lui, par obstination idéologique. NPA et LO ont fait la même chose en France. l s'agissait là de circonstances objectivement favorables à une mise en commun de toutes les forces, mais non, rien à faire : c'est bien là-dessus que comptent ceux d'en-face, avec à chaque fois un parti qui veut se donner un vague teint de gauche, sans pour autant en reprendre les thèmes. PS et PASOK ont eu la même démarche.
RépondreSupprimerLa seule différence entre les deux pays, c'est que le PASOK a été le dernier parti au pouvoir avant la crise de celui-ci, ce qui l'a discrédité dans les urnes, alors que le PS a pu sembler à un peuple frileux l'alternative à un homme honni pendant cinq ans.