Les médias pérorent, ils abreuvent ceux qui les pratiquent de résultats sportifs, de faits divers bien sanglants, de "bons mots" qui n'apportent rien, ou qui déchaînent la critique souvent pour des simples différences d'interprétation.
Là-dessus, revenons à cette pauvre Syrie, encerclée de prédateurs humant sa chair déjà ensanglantée, hurlant à l’encontre les uns des autres en un sinistre concert, se battant pour la maîtrise mondiale de l’énergie, et du Pouvoir que celle-ci procure à son maître. Revenons à la Syrie, parce qu'après elle d'autres seront investies d'abord par des critiques orientées et fausses, puis par des déstabilisateurs infiltrés, puis... on connaît la chanson.
Comment pourrions-nous, nous citoyens, signifier nos reproches à ceux que le système a placés en position décisionnelle ? Car ce ne sont pas nos votes, orientés, canalisés comme des bovins à l’abattoir, qui les ont amenés là. C’est simplement une question d’allégeance aux vrais patrons. Le côté vicieux de l’affaire est le feedback positif que cela entraîne : de plus en plus de "décideurs" sont les choses des groupes internationaux, ce qui renforce de plus en plus ceux-ci, leur donnant encore plus de possibilités pour circonvenir d’autres "élus". Comment casser ce cycle infernal ?
Les Syriens ont besoin de nous. Ils ont besoin de notre appui, qui ne peut s’exercer qu’en désavouant les positions de nos Maîtres. Quel canal sera assez fort, pour que la voix de ceux qui ont compris soit entendue de tous, et prise en compte ?
Là-dessus, revenons à cette pauvre Syrie, encerclée de prédateurs humant sa chair déjà ensanglantée, hurlant à l’encontre les uns des autres en un sinistre concert, se battant pour la maîtrise mondiale de l’énergie, et du Pouvoir que celle-ci procure à son maître. Revenons à la Syrie, parce qu'après elle d'autres seront investies d'abord par des critiques orientées et fausses, puis par des déstabilisateurs infiltrés, puis... on connaît la chanson.
Comment pourrions-nous, nous citoyens, signifier nos reproches à ceux que le système a placés en position décisionnelle ? Car ce ne sont pas nos votes, orientés, canalisés comme des bovins à l’abattoir, qui les ont amenés là. C’est simplement une question d’allégeance aux vrais patrons. Le côté vicieux de l’affaire est le feedback positif que cela entraîne : de plus en plus de "décideurs" sont les choses des groupes internationaux, ce qui renforce de plus en plus ceux-ci, leur donnant encore plus de possibilités pour circonvenir d’autres "élus". Comment casser ce cycle infernal ?
Les Syriens ont besoin de nous. Ils ont besoin de notre appui, qui ne peut s’exercer qu’en désavouant les positions de nos Maîtres. Quel canal sera assez fort, pour que la voix de ceux qui ont compris soit entendue de tous, et prise en compte ?
Curieux en effet, comme on oublie les opinions de ce peuple, sans manipulation partisane...
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