La preuve sur le site du second jour.
La préfecture de Nantes s'entête, mais ne réussit pas à déloger les occupants de la Zone à Défendre, ceux que les journalistes appellent des squatters. Les lacrymogènes pleuvent dru.
En même temps, une manifestation s'est déclenchée face à la préfecture elle-même.
Les désapprobations s'intensifient. Elles se multiplient, comme cette lettre de la section du PG 44. Ou la réaction de la responsable écologie nationale du PG.
Oui, la bataille continue. Les porte-paroles d'Europe Ecologie-Les Verts et du PS s'affrontent. Plus qu'une bataille rangée (où participent tout de même quelque chose comme plus de 500 gardes mobiles et CRS, deux hélicoptères, de nombreux camions, engins de chantier...), cela redevient une grande bataille politique, où l'ancien maire de Nantes est fort mal placé par son intransigeance.
Des images ont été tournées, nombreuses, le mardi. Mais le mercredi soir ce n'est toujours en rien terminé. Et cette détermination de ceux qui défendent leur sol pourrait bien coûter cher au gouvernement, en fin de compte.
C'est d'autant plus gênant pour les autorités qu'une chanson a été écrite, et ce genre de détail n'est pas anodin. On ne sait pas encore qui va gagner, mais on sait déjà qui va perdre.
Les dernières nouvelles ! Oui, les occupants-défenseurs de la ZAD (la Zone A Défendre) tiennent tête aux robocops.
RépondreSupprimerRappel : manifestation ce soir 18 octobre devant la préfecture, à 19 heures.
Encore des nouvelles !
RépondreSupprimerLa lutte continue toujours !
RépondreSupprimerLes prochaines mobilisations fixées sont le vendredi 19 octobre à Rennes à 18h30 place de la mairie et à Nantes le samedi 20 octobre à 11h au Pont Morand.
Est-ce énervement ? Maintenant, les grenades lacrymogènes sont lancées en tir tendu parfois, ce qui occasionne des blessures chez les défenseurs.