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mardi 28 mai 2013

L'assassinat est mon bonheur, roucoulent les fabricants de #pesticides et leurs amis #psychopathes

Siège de Monsanto, à Saint Louis, Missouri
Ce sont les Moutons Enragés qui le révèlent, en toute illégalité Monsanto l'assassin universel n'hésite pas à voler et détruire les reines d'abeilles qui ont la chance de résister au Roundup, son poison fétiche. Les abeilles sont le grand vecteur de pollen dans le monde, donc le moyen qu'a la Nature de permettre la reproduction de la grande majorité des plantes. Merci de lire intégralement les deux articles successifs, ainsi que les commentaires.

La multinationale, ainsi que sa voisine Syngenta, et probablement la suisse Novartis, et d'autres, sont en train de voler à la planète sa capacité à reproduire la vie. Leur responsabilité est colossale. Leurs intentions, singulièrement opaques.

Ce n'est pas parce que grâce à la fortune de Bill Gates, ci-devant patron de Microsoft, et d'autres sponsors (je n'oserai pas dire philanthropes), une proportion significatives des gènes de la planète en végétaux et animaux a été mise au frais au Groënland, dans le lieudit Svalbard, que tout est pour le mieux. Au risque de paraître comme ces lanceurs d'alerte que les médias et les entreprises font tout pour faire taire, voire pour écraser, comme ceux que les mêmes médias et les politiciens enragés considèrent comme nuisibles parce qu'ils posent des questions, je déclare que là se développe "un complot" (oui, le grand mot est lâché) des psychopathes du monde en vue de leur ridicule hégémonie.  Ce complot est naturellement implicite entre gens qui se comprennent, se regroupent, s'estiment aussi longtemps que le voisin n'a pas le dos tourné.

Oui, mes amis, ce sont "naturellement" des psychopathes qui ont réussi à avoir les rênes du monde dit "Occidental". Pourquoi ? Ce sont des médiocres, avec un seul but dont ils savent ne pas s'écarter : le Pouvoir. Ayant un seul but, ils savent manœuvrer pour écarter de gré ou de force tous les obstacles. Justement un article du Grand Soir en décrit les mécanismes tortueux et implacables. Bien entendu, les patrons de firmes comme Monsanto sont incapables de concevoir eux-mêmes les horreurs qu'ils savent non seulement vendre, mais imposer. Ils ont seulement la malice politique leur permettant ce genre de tour de passe-passe monstrueux. Écrabouiller des abeilles qui ont l'outrecuidance de résister à leurs productions fétides, c'est vraiment tortueux, morbide et apparemment contre-productif.

Sauf que dans un réflexe malthusien extrême, selon certains analystes ils se proposent de réduire la population mondiale au dixième de ce qu'elle est si l'on en croit les mots écrits sur une certaine stèle non loin de Washington. En quelque sorte, eux, et suffisamment d'esclaves pour les servir. Eux les ratés, et des normaux jouant leur rôle dans des limites étroitement surveillées. Car bien entendu chez de tels personnages, la paranoïa est au maximum.

Sont-ils nombreux ? Selon les sources de l'article du Grand Soir leur population avoisinerait quatre pour cent de l'effectif mondial. Assez pour réussir à être influents, pas assez pour que chacun en connaisse autour de soi. Ce n'est bien entendu qu'une aberration psychique, qu'apparemment ces créatures particulières savent fort bien dissimuler.

Dans cette description des psychopathes (ou sociopathes selon d'autres versions) on reconnaît des assassins au grand jour, qui tuent par haine et sans préoccupation pour leur propre survie. Et puis aussi d'autres personnes qui ont ou auront un rôle dans le destin du monde, tout simplement parce que c'est leur seul moteur. Timeo hominem unius libri : je crains l'homme d'un seul livre déclarait Thomas d'Aquin. Il aurait dû ajouter "Je crains l'homme d'une seule action".  Certains, tout le long de leur vie, n'ont qu'un seul but, ce qui leur donne une force terrible face à de vrais humains qui dispersent heureusement leurs efforts selon de multiples motivations, celles de la vie.

Oui, certaines personnes sont reconnaissables par leur comportement outrancier et parfois grotesque. D'autres, tout aussi atteintes, mais plus intelligentes malgré le handicap, passent sans doute au travers des mailles, ce ne sont pas les moins dangereuses. Parmi celles-là, des patrons de "machins" louches, et de préférences internationaux pour rester intouchables malgré leurs forfaits.

Bien entendu, acquis à la cause des "industriels" dont ils sont souvent les pairs aujourd'hui, les patrons des grands médias s'assurent que le message implicite délivré par leur canal renforce l'emprise des casseurs, que dis-je, des démolisseurs de l'avenir de tous. C'est au point que, contrevenant aux critères (néo)libéraux, ils laissent ces médias continuer à fonctionner à perte : c'est l'assurance de leur consolidation dans l'intellect de ceux qui n'ont pas le temps de réfléchir au point de déceler les failles de leur raisonnement. Fabricant des robots prévisibles, ils en orientent le destin, et le plus souvent la perte s'ils se rebellent.

Voilà comment, partant des abeilles, se dessine un dessein monstrueux. Pas vraiment un complot, non. Une finalité programmée par des entités (ne disons pas des humains) aux motivations le plus souvent communes. Pour fixer les idées, certains vont avancer le vocable NWO, "Nouvel Ordre Mondial". Disons plus prosaïquement la mainmise des imbéciles tarés mais monomaniaques sur les intelligents.

dimanche 11 novembre 2012

Qu'est-ce qu'être humain ?

Récemment, sur un autre blog un intervenant posait cette simple question.
 c'est quoi être humain?
 Il m'a fallu plusieurs jours pour méditer ces quatre mots.

Être humain, cela a deux sens.

Il y a deux jours, j'ai participé à une causerie aux Utopiales, le festival annuel de science-fiction de Nantes. Le thème était axé sur les robots, et leur interaction avec les êtres vivants. A propos des trois Lois de la robotique, énoncées par Isaac Asimov, un intervenant (Gérard Klein) faisait dire à un robot "Et comment est-ce que je reconnais un humain ?"

L'humain partage avec les robots imaginés par Asimov une intelligence à la fois cognitive et sensitive. Pour autant, il a été conçu biologiquement, ce qui n'est pas le cas du robot le plus parfait.

Seconde définition d'un humain, qui soit humain justement. Il doit être doué d'empathie, c'est-à-dire ressentir de façon empirique les réactions intérieures d'un autre humain, les partager, les comprendre. Certains en sont incapables, soit parce qu'ils sont autistes, effrayés et repliés sur eux-mêmes pour se protéger, soit parce que, sociopathes ou psychopathes, pour eux tout ce qui n'est pas eux-mêmes n'est qu'objet, et non sujet. Ceux-là sont totalement insensibles aux signaux physiques de l'être en face d'eux, et le traiteront avec autant d'égards qu'une pierre.

Cela n'est pas suffisant, car certains humains doués d'empathie sont malgré tout des monstres : ressentant au plus haut point les réactions de la personne (ou de l'animal) tombé dans leurs griffes, ils se repaissent de ses réactions, les provoquent, les titillent à un degré insupportable. Ce sont les pervers.

L'humain vraiment humain doit vraiment ressentir de l'empathie, mais dans un sens positif, et faire tout ce qu'il peut pour aider l'être qu'il observe. La chose peut aller plus loin : des personnes "demeurées", comme on dit, peuvent être douées d'empathie (c'est souvent le cas précisément) mais par ignorance au lieu d'aider, embarrasser la personne qu'ils voudraient soulager, voire la blesser.

N'est pas humain qui veut. Je recommanderai à ce sujet la lecture d'un ouvrage d'Isaac Asimov, précisément, qui évolue dans ce concept d'une façon magistrale : L'homme bicentenaire. Je n'en dis pas plus, pour préserver la fraîcheur de la lecture.