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vendredi 11 septembre 2015

C'était LE 11 septembre





Souvenons-nous toujours.



Sa dernière photo avant qu'il ne soit balayé par le bras armé de Washington. N'oublions jamais.

Viva Salvador Allende Gossens, homme juste, grand socialiste, DONC homme à abattre pour les terroristes de la CIA. Celle-ci a même tenté de couvrir ce crime par un autre crime 28 ans plus tard. C'est raté !

lundi 8 juillet 2013

Droit d'asile : la France a fait un choix. Celui qu'il ne fallait pas

Je lis cette dépêche AFP, dont voici un extrait.


Paris (AFP)  le 08-07-2013 à 13h17 - La chef de file des Femen en France, Inna Shevchenko, a obtenu le statut de réfugié auprès de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA), a-t-on appris lundi auprès de cette militante ukrainienne.


 En revanche, l'OFPRA a refusé la demande d'asile de Edward Snowden, recherché par son pays pour avoir osé être un lanceur d'alerte et un bienfaiteur de l'humanité.


Un demandeur d'asile , c'est le jeu, accepte de ne pas militer dans son pays d'accueil. En contrepartie  celui-ci opposera son refus à toute demande d'extradition.


Inna Schevchenko va-t-elle cesser tout militantisme ? Ce sera un bon test. Des bruits courent, bien entendu sans confirmation, donnant les Femen pour des agents de la CIA, voire du Mossad. L'OFPRA ferme les yeux, tout va bien. Alors que Snowden, par son action,  s'est délibérément séparé de son employeur la NSA. Et cela, c'est sûr.

En somme, être agent actif "de l'Occident" serait honorable pour les Autorités françaises, alors que soudain la frilosité règne quand l'homme qui fustige - à raison - cet Occident cherche à se réfugier dans un pays garant des Droits de l'Homme. Nous l'annoncions, la France - ou du moins ses édiles - a désormais choisi son camp, qui n'est pas le plus reluisant.


Quand pourrons-nous, oui, nous, citoyens, évincer les tenants d'une telle politique de servilité envers ce détestable Grand Frère de l'autre côté de l'océan ?

jeudi 20 juin 2013

Un mot à la mode : le terrorisme

Le terrorisme, ce sont les États-Unis : Miami et les anticastristes

Le terrorisme, ce sont les États-Unis : les Contras au Nicaragua et ailleurs

Le terrorisme, ce sont les États-Unis : Al Qaida simple succursale   ( IX XI ? )

Le terrorisme, ce sont les États-Unis : l’OTAN et ses supplétifs

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Le terrorisme, ce sont les États-Unis : PRISM "contre le terrorisme"

Le terrorisme, ce sont les États-Unis : Afrique nous voici

Le terrorisme, ce sont les États-Unis : ce sont les lanceurs d'alertes qui vont en prison

Le terrorisme, ce sont les États-Unis : la liste n'est pas close

vendredi 31 mai 2013

D'une pétition contre les hauts salaires, à une remise en cause de cet État-là

Une pétition vient d'être lancée sur le Net. Elle prétend imposer  au gouvernement (attention, c'est compliqué) de renoncer à ne pas renoncer à bloquer les salaires pharamineux, et toujours en fulgurante augmentation, des Grands Patrons français. En particulier ceux du CAC40. Ces augmentations sont d'autant plus révoltantes, que l'on peut chercher parmi eux les vrais entrepreneurs qui ont, par un travail intelligent et productif, créé ou développé leur propre outil. Non, ce ne sont que de vagues gestionnaires, arrivés là par cooptation, par nomination, au hasard, et ne sachant même pas vraiment ce que font les personnes sous leurs ordres.

On peut douer de l'efficacité de cette pétition. Il faudrait sans doute que vingt millions de personnes la signent pour que la tête de l'État s'en émeuve un peu. Les chances d'obtenir un tel succès sont infimes. D'autant que c'est sur Avaaz, le support international, que cette action a été lancée. Avaaz, qui par commodité ne prend même pas la peine de vérifier la véracité des adresses des signataires par un système de confirmation (elle n'est pas la seule, c'est vrai). Mais il y a plus ennuyeux.

Effectivement Avaaz est (indirectement bien sûr) financée par la CIA.Les indices abondent sur la Toile. Donc celle-ci peut certainement bénéficier des fichiers des signataires. Je ne comprends pas comment des pétitions peuvent encore se lancer sur ce support. D'ailleurs, QUI les lance ?

Compte tenu de tous les renoncements en cascade des projets utiles du gouvernement (ils sont pourtant rares), c'est ce gouvernement lui-même, et le président qui l'inspire, qu'il faut virer. Hollande est aussi coupable envers les citoyens, que le furent en leur temps Jean Monnet et Robert Schuman, "pères" de l'Europe sous l'égide de leur mentor... le lobby financier US. La personnalisation du régime (c'est le mot qui convient), instituée par un De Gaulle patriote et désintéressé, terriblement accentuée depuis, fait que désormais pour changer de politique, c'est le locataire du 55 rue du Faubourg qu'il faut contraindre à partir.

Eh bien qu'il parte ! Et que le plus vite possible une vraie pétition citoyenne l'y contraigne. Curieusement dans l'opposition, personne ne semble s'y être risqué encore, alors que son avance aux élections n'a été obtenue que grâce aux voix de la vraie Gauche, alors que si l'on en croit les sondages sa cote est... hum... pas terrible. On ne veut plus de lui, mais personne n'ose vraiment le dire. Pourquoi ? Il y a urgence, toujours plus d'urgence.

Une piste : la Gauche ne serait-elle pas prête pour le grand saut, et pour appliquer son programme ? Insuffisant comme je l'ai déjà souligné, il est tout de même plus bénéfique pour l'ensemble de la nation et de nos concitoyens que cette position de carpette vis-à-vis de Bruxelles, de Francfort et de Berlin, voire de Washington.


Si nous le voulons, le changement, c'est maintenant.

samedi 4 mai 2013

Anniversaire sépulcral #François

Il y a un an, un homme que je ne souhaitais pas arriver au pouvoir a réussi - de justesse - à devenir le nouveau locataire du 55 rue du Faubourg au second tour.

Comme je le craignais en raison de son pélerinage à la City peu de temps auparavant, il a imposé non ce qu'il avait promis, déjà très en retrait vis-à-vis des aspirations portées par le parti de la rue Solférino (ne me demandez surtout pas de l'appeler parti socialiste), mais bien pire encore. En fait, économiquement, donc pour tout le reste, puisque tout a besoin d'argent pour se concrétiser, il a continué, en l'aggravant, la politique précédente, déjà éminemment calamiteuse.

Il ne reste plus qu'à souhaiter un succès tel du mouvement de demain, qu'il comprenne combien les citoyens de ce pays ont parfaitement compris, et rejeté, ses options (ou plutôt celle de ses sponsors). Il ne reste plus qu'à souhaiter qu'à la lueur aveuglante de ces résultats, il démissionne et laisse la place à une toute nouvelle donne.

Un an, dans ces conditions-là, c'est assez, bien assez, terriblement assez. Un an, c'est bien trop. Dehors ! Dehors, l'option néolibérale. Dehors, les mafieux de la politique. Place à la démocratie pure et dure, même si cela déplaît souverainement (au nom du peuple souverain justement) à ceux qui se sont copieusement gobergés jusqu'à présent.

Y compris les "internationaux", qu'il faudra accueillir avec la plus grande circonspection s'ils sont actionnaires putatifs ; et avec violence si ce sont des mercenaires du Grand Capital armés de pied en cap*.

*en un mot, les types de la CIA, y compris wahhabistes, on les élimine.

samedi 23 mars 2013

Venezuela - Aucun doute : Otto Reich était bien derrière le plan d’attentat visant Capriles (LGS)

Il y a donc confirmation : la CIA et quelques têtes brûlées préparaient bien un attentat visant à assassiner le candidat de l'opposition de droite (ce qui peut paraître paradoxal) au Venezuela afin d'apporter le chaos dans ce pays avant les élections présidentielles. Ils étaient sûrs que Capriles, ce candidat "libéral", ne ferait pas le poids face à Maduro, actuellement président par intérim. Il était donc "sacrifiable" sur l'autel de la suprématie US.  C'est cynique ? Plutôt ! Ce billet paru sur le Grand Soir est très parlant. Quelqu'un a encore le moindre doute sur l'identité du terrorisme mondial ? Toute cette sorte d'évènements se planifie désormais à Langley. La paranoïa et la volonté de puissance de Washington et ses "alliés" envahissent la scène internationale, il est du devoir de tous de les contrer, au nom du salut du Monde. L'intervention au Mali de mercenaires "français", au nom d'intérêts privés, est dans cette droite ligne.


Vénézuéla - Aucun doute : Otto Reich était bien derrière le plan d’attentat visant Capriles.


18 Mars 2013 - Les révélations faites par le président en charge du Vénézuéla, Nicolás Maduro, autour d’un complot destiné à assassiner l’opposant Henrique Capriles confirment des informations provenant de Miami et indiquent comment les anciens hauts représentants des États-Unis, Otto Reich et Roger Noriega, tous deux liés à la CIA, se sont concertés avec l’extrême droite vénézuélienne pour fomenter un plan destiné - entre autres - non seulement à éliminer Capriles, mais encore à en faire un "martyre" en accusant du crime le gouvernement du Vénézuéla.

En fabriquant à l’opposition son "martyre", les conspirateurs cherchent à lui créer un motif de mobilisation et, surtout, cherchent à créer un prétexte pour encourager un climat de violence et de déstabilisation totale. Objectif final : essayer d’empêcher la tenue des élections présidentielles du 14 Avril prochain, ou au moins mettre en cause leur validité. Élections au cours desquelles - tout le monde le reconnaît - il leur sera impossible de mettre en déroute les forces chavistes.
L’ex ambassadeur de Caracas, Reich, a contribué activement au retour aux États-Unis du terroriste Orlando Bosch, responsable de la destruction en plein vol d’un avion civil cubain.
Reich, ce fils Cubain d’un Autrichien qui a trouvé refuge à Cuba après avoir collaboré avec les Nazis - ce qui pourrait expliquer son mépris viscéral de Capriles - est depuis longtemps membre du cercle des amis intimes du terroriste Posada Carriles, lequel a une grande expérience en conspiration. Ils ont œuvré ensemble pendant des années autour de plans en tous genres pour tenter de renverser la Révolution Cubaine et d’éliminer physiquement son leader Fidel Castro.

Dans les années 80 ils firent tous deux partie de l’opération lancée par l’administration Reagan contre le gouvernement sandiniste du Nicaragua qui devait finir par le scandale Iran-Contra.

Alors qu’il était assistant au Secrétariat d’État du gouvernement de George W. Bush, Reich s’est chargé personnellement des négociations avec la présidente du Panamá, Mireya Moscoso, pour obtenir la libération de Posada Carriles et des autres terroristes emprisonnés dans ce pays d’Amérique Centrale, afin d’essayer d’assassiner lors d’un sommet Ibéro-américain celui qui était alors le président de Cuba, Fidel Castro.

Après le triomphe électoral de Hugo Chávez aux élections présidentielles de 1998 au Vénézuéla et la radicalisation ultérieure du processus révolutionnaire dans ce pays, renverser le gouvernement bolivarien devint une obsession maladive pour Reich et pour les intérêts de l’extrême droite des États-Unis liée aux grands monopoles pétroliers qu’il représentait.

Ce fut précisément Reich qui, depuis son poste au Département d’État sous l’administration Bush, a eu l’idée du coup d’état contre le Président Chavez en Avril 2002.

A ce que l’on a su après, Reich a rendu responsables de l’échec de cette tentative de coup d’état les divisions et divergences qui existaient entre les militaires complotistes, et il déplorait qu’ils ne soient pas parvenus à se mettre d’accord dès le début aussitôt qu’il a été décidé d’éliminer le président du Vénézuéla comme lui-même l’avait dit.

Après cela, Reich a été d’une manière ou d’un autre impliqué dans plusieurs plans de tentatives d’attentats contre le président bolivarien, avec la complicité de la CIA, de l’extrême droite vénézuélienne et des groupes terroristes qui résidaient aux États-Unis.
Reich et ses amis ont du se rendre à l’évidence selon laquelle la tant désirée disparition physique du leader de la révolution bolivarienne n’a pas conduit comme ils l’espéraient à la déroute de ce processus. Au contraire, Chavez est devenu un ennemi beaucoup plus dangereux et difficile à affronter.

Il est devenu un symbole vénéré par des millions de Vénézuéliens, et toute tentative pour attaquer son image équivaut en ce moment à un suicide politique.

Face à cette situation, les secteurs de l’opposition vénézuélienne et ceux qui la dirigent depuis Washington sont plus déconcertés qu’ils ne l’ont jamais été. De toute évidence, ils ne savent pas comment faire face à la réalité nouvelle. Leurs différences et contradictions internes deviennent chaque jour plus inconciliables.

Paradoxalement, c’est Capriles lui-même qui, avec ses déclarations offensantes le jour où il a annoncé sa candidature et avec le rejet qu’elles provoquèrent, a contribué à accélérer ces plans.

"S’il y a quelque chose sur quoi tout le monde est d’accord, c’est que le candidat de l’opposition n’a pas une "âme de martyre", commente depuis Washington un analyste proche de la question. "Je me risquerais seulement à conseiller à Capriles qu’il soit prudent dans ses actions provocatrices et irresponsables. Et qu’il se rappelle que pour ses amis de l’extrême droite et ses mentors du Nord, tout est bon pour atteindre les objectifs qui vont dans le sens de leurs intérêts."

Jean Guy Allard
Source : www.aporrea.org/actualidad/n225194.html
URL de cet article 19850

mercredi 14 novembre 2012

La reconnaissance de l’opposition syrienne par la France est immorale (Assawra)

La reconnaissance de l’opposition syrienne par la France est immorale

mercredi 14 novembre 2012, par La Rédaction d'Assawra
Paris et Washington ont reconnu la légitimité de la Coalition syrienne de l’opposition, la France faisant même un pas vers un éventuel armement des rebelles, une position "immorale" pour Damas qui a vu dans l’unification de l’opposition une "déclaration de guerre".

Sur le terrain, les chars du régime pilonnait Damas et sa région, où près d’une centaine de personnes ont péri mardi, la capitale et notamment sa ceinture sud étant désormais au centre des combats après 20 mois d’une révolte populaire devenue conflit armé.
Au lendemain de sa formation, la France a reconnu la Coalition comme "seule représentante du peuple syrien et donc comme le futur gouvernement provisoire de la Syrie démocratique".

Les Etats-Unis, eux, ont affirmé qu’elle était "une représentante légitime du peuple syrien", se gardant d’évoquer un éventuel exécutif provisoire avant que la Coalition ne "fasse la démonstration de sa capacité à représenter les Syriens à l’intérieur de la Syrie".

Réagissant pour la première fois depuis la formation de la Coalition lors d’une réunion à Doha la semaine dernière, le vice-ministre syrien des Affaires étrangères Fayçal Mekdad a dénoncé une position "immorale" de la France.

Dénonçant une "position arrogante" dictée, selon lui, par "le passé colonialiste de la France", il a estimé que "cette ingérence flagrante dans les affaires intérieures syriennes viole la charte des Nations unies".

Voyant dans la réunion de Doha une "déclaration de guerre", M. Mekdad a en outre accusé l’opposition de ne pas vouloir "résoudre pacifiquement la crise" en refusant "tout dialogue avec le gouvernement".

"Nous sommes prêts à discuter avec l’opposition syrienne qui a sa direction en Syrie et pas avec celle qui a été fabriquée ou dirigée ailleurs", a-t-il poursuivi, alors que Damas et ses alliés ont multiplié les appels aux négociations, rejetés par l’opposition qui exige avant toute chose le départ de M. Assad.

Allié de Damas, le Premier ministre russe Dmitri Medvedev, qui a affirmé ne soutenir "personne" dans le conflit syrien "contrairement à ce que pensent généralement les gens", a critiqué les positions "partiales" des pays soutenant l’opposition.

M. Mekdad a en outre accusé la France, pour qui la question de l’armement des rebelles sera "nécessairement reposée", d’être "responsable de la mort de milliers de Syriens" en apportant "un soutien financier et technique aux terroristes", auxquels Damas assimile les insurgés. Il a encore jugé "inacceptable" un éventuel armement des rebelles par Paris.
Le chef fraîchement élu de l’opposition, Ahmad Moaz al-Khatib, a réclamé à l’étranger des "armes appropriées" pour lutter contre le régime, alors que le conflit a fait plus de 37.000 morts selon une ONG.

Si plusieurs Etats du Golfe, notamment le Qatar, appellent à armer la rébellion, des pays Occidentaux, Etats-Unis en tête, refusent cette option, redoutant qu’elles ne tombent aux mains d’extrémistes.

Mercredi, les chefs de la diplomatie du Golfe et de la Russie doivent s’entretenir à Ryad de la Syrie.

Le 30 novembre, Tokyo accueillera une réunion des "Amis du peuple syrien" qui évoquera notamment un renforcement des lourdes sanctions déjà mises en place.

Sur le terrain, les raids féroces de l’aviation et les tirs par l’artillerie des troupes ont de nouveau frappé Damas, sa région et le nord-ouest de la Syrie, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), au lendemain d’une journée particulièrement meurtrière avec 189 morts à travers le pays.

Face à ces violences, Washington a annoncé 30 millions de dollars supplémentaires d’aide humanitaire, déjà portée à 165 millions de dollars à l’entrée de l’hiver.

(14 Novembre 2012 - Avec les agences de presse)

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Sachant ce qu'est l'opposition syrienne dont parlent les étrangers de "la communauté internationale" (traduisez le noyau dur le l'OTAN, simple pseudopode de la CIA et du Pentagone), qui n'est pas du tout l'opposition que tout pays démocratique possède,  il est facile de mesurer la légitimité de ce fatras de barbouzes payés par l'argent de la drogue afghane, remise en selle par Langley.

Soutenant ce "machin" innommable, le gouvernement français tout entier se discrédite pour des années. Quelle horreur ! Cela signifie aussi que lui désobéir n'est plus un délit, mais une mesure de salut public. Voir l'article 35 de la Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen.