Pauvres Anglais ! (tiens, pour une fois je les plains)
Ils n’ont pas, comme les Français, eu "la chance" de répondre non au TCE. Même si ensuite un COUP D’ÉTAT leur a imposé le traité de Lisbonne, les Français en toute légitimité peuvent virer les politicards actuels et les banquiers qui les financent, puis sortir IMMÉDIATEMENT, sans attendre la moindre permission, au nom du Principe de Nécessité, et selon les articles 61 et 62 de la Convention de Vienne (1969). Rejetant comme un a priori le traité de Lisbonne, ils n’ont pas à faire appel à l’article 50 du TUE qui en est un constituant.
Sortir officiellement, bloquer les flux financiers, ceux qui les provoquent éventuellement, déclarer la patrie en danger, tout cela peut se mettre en place en quelques heures. 48 heures plus tard les derniers "diplomates" US ont quitté leur bunker, tous déclarés persona non grata. En même temps une simple lettre adressée boulevard Léopold III à Haren annonce la sortie pure et simple de l’OTAN.
Dans les jours qui suivent, les grandes entreprises sont saisies et mises à la disposition du Peuple. Y compris éventuellement les filiales de grandes entreprises étrangères. L’interdiction des OGM et des défoliants est prononcée. Des personnalités sous le coup d’accusations de meurtre par refus de précaution (vu, la FNSEA ?) sont arrêtées.
Le Quai d’Orsay se met en contact immédiat avec les BRICS et d’autres pays, pour des accords bilatéraux, en coordination avec les ministères de l’Agriculture, de l’Industrie..... car bien entendu aussitôt et en urgence des personnalités ont remplacé toutes celles qui détenaient les portefeuilles précédemment.
Un mois plus tard, la France a un tout autre aspect, les cercles qui préparaient des idées pour une nouvelle Constitution envoient des délégués pour en assurer la synthèse, l’équilibrage, avec le concours de quelques juristes pour en vérifier la forme. Quelques mois plus tard les Citoyens sont appelés à entériner le texte, auquel ils auront eu loisir d’avoir accès (avec remarques éventuelles) avant sa forme définitive.
Toutes les lois récentes sur le travail, sur les retraites, sont abrogées, ainsi que d’autres issues des instructions de Bruxelles depuis le 29 mai 2005. Les syndicats sont invités à quitter la CES, et à provoquer des congrès exceptionnels en vue de nouvelles têtes de préférence issues directement de la base. Le SMIC est dans un premier temps majoré de 20%. Les banques accordent aux PME des facilités de trésorerie sans contrepartie. (bien sûr, ce ne sont plus des euros, mais une nouvelle monnaie NON CONVERTIBLE) D’ailleurs les banques d’affaires sont dissoutes, les banques de dépôt deviennent les simples succursales de la BdF, AU SERVICE des clients, et non d’obscurs actionnaires.
Voilà quelques-unes des mesures qu’on peut prendre très vite. Bien entendu, chaque personne qui le souhaite, et qui a un projet intéressant, peut monter son entreprise pour remplacer les apports extérieurs UTILES qui pouvaient provenir des pays anglo-saxons - ceux-ci ne manqueront probablement pas de frapper notre pays d’embargo !
Ils n’ont pas, comme les Français, eu "la chance" de répondre non au TCE. Même si ensuite un COUP D’ÉTAT leur a imposé le traité de Lisbonne, les Français en toute légitimité peuvent virer les politicards actuels et les banquiers qui les financent, puis sortir IMMÉDIATEMENT, sans attendre la moindre permission, au nom du Principe de Nécessité, et selon les articles 61 et 62 de la Convention de Vienne (1969). Rejetant comme un a priori le traité de Lisbonne, ils n’ont pas à faire appel à l’article 50 du TUE qui en est un constituant.
Sortir officiellement, bloquer les flux financiers, ceux qui les provoquent éventuellement, déclarer la patrie en danger, tout cela peut se mettre en place en quelques heures. 48 heures plus tard les derniers "diplomates" US ont quitté leur bunker, tous déclarés persona non grata. En même temps une simple lettre adressée boulevard Léopold III à Haren annonce la sortie pure et simple de l’OTAN.
Dans les jours qui suivent, les grandes entreprises sont saisies et mises à la disposition du Peuple. Y compris éventuellement les filiales de grandes entreprises étrangères. L’interdiction des OGM et des défoliants est prononcée. Des personnalités sous le coup d’accusations de meurtre par refus de précaution (vu, la FNSEA ?) sont arrêtées.
Le Quai d’Orsay se met en contact immédiat avec les BRICS et d’autres pays, pour des accords bilatéraux, en coordination avec les ministères de l’Agriculture, de l’Industrie..... car bien entendu aussitôt et en urgence des personnalités ont remplacé toutes celles qui détenaient les portefeuilles précédemment.
Un mois plus tard, la France a un tout autre aspect, les cercles qui préparaient des idées pour une nouvelle Constitution envoient des délégués pour en assurer la synthèse, l’équilibrage, avec le concours de quelques juristes pour en vérifier la forme. Quelques mois plus tard les Citoyens sont appelés à entériner le texte, auquel ils auront eu loisir d’avoir accès (avec remarques éventuelles) avant sa forme définitive.
Toutes les lois récentes sur le travail, sur les retraites, sont abrogées, ainsi que d’autres issues des instructions de Bruxelles depuis le 29 mai 2005. Les syndicats sont invités à quitter la CES, et à provoquer des congrès exceptionnels en vue de nouvelles têtes de préférence issues directement de la base. Le SMIC est dans un premier temps majoré de 20%. Les banques accordent aux PME des facilités de trésorerie sans contrepartie. (bien sûr, ce ne sont plus des euros, mais une nouvelle monnaie NON CONVERTIBLE) D’ailleurs les banques d’affaires sont dissoutes, les banques de dépôt deviennent les simples succursales de la BdF, AU SERVICE des clients, et non d’obscurs actionnaires.
Voilà quelques-unes des mesures qu’on peut prendre très vite. Bien entendu, chaque personne qui le souhaite, et qui a un projet intéressant, peut monter son entreprise pour remplacer les apports extérieurs UTILES qui pouvaient provenir des pays anglo-saxons - ceux-ci ne manqueront probablement pas de frapper notre pays d’embargo !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire