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dimanche 7 mai 2017

La France n'a plus de président

Ce dimanche 7 mai 2017, il est 20 heures.

La France n'a plus de président

Depuis dix ans, c'était déjà l'Ordre Mondial qui dictait les agissements de nos politiciens, soit via son antenne de Bruxelles, soit grâce aux Young Leaders, soigneusement chapitrés qui parsèment ministères et institutions, soit par le truchement d'organisations para-politiques protégées et très agissantes.


Désormais c'est directement la banque Rothschild qui prend en main l'Élysée. Sans doute y sera-t-il installé une agence directement, avec distributeur automatique de biftons à la valeur précaire, et obséquieux conseillers pour les pauvres riverains. 






C'est au point que l'ambassade sise tout près de cette succursale de la City ne devrait plus avoir à servir, puisque ce sera l'annexion pure et simple. Les Français devenus l'équivalent des Portoricains, voilà une perspective intéressante. Ce sera sans doute le cinquante-sixième-bis parmi les pseudo « États de l'union », le Dominion normand, un sous-Jersey en somme.


La City, devrais-je dire la Couronne ? aura donc un sujet de plus à part entière, comme elle avait continué à posséder les territoires situés entre les Grands Lacs et le Rio Grande malgré une pseudo-indépendance. Le Lion ne lâche pas ses proies.


Ne nous inquiétons pas pour les politiciens de tous bords autoproclamés : ils auront bien mérité une prébende tranquille pour avoir œuvré à cette grande réussite. Les plus jeunes serviront encore, afin de parachever l'adhésion des indécis : quant aux réticents, aux hostiles et aux résistants, ce sera autre chose !


La Résistance doit se lever dès maintenant, tout de suite, sans attendre, parce que LA PATRIE EST EN DANGER, et même plus que cela. La guerre est déclarée par l'Establishment. Nos seuls alliés seront à l'Est, au-delà d'États renégats comme la Roumanie. Vladimir Vladimirovitch Poutine, avec nous ! Oui, nous pouvons faire l'Europe, celle qui va de Sverdlovsk et Tchéliabinsk à Brest et CALAIS. Pas au-delà.


Au nom de Jallet, de Robespierre le réprouvé par les pourris d'alors et d'aujourd'hui, de Baudin, de la Commune tout entière, en avant ! De ce monde en pourriture, faisons jaillir un nouvel arbre de l'égalité, de la fraternité, de la liberté.

4 commentaires:

  1. C'était pendant l'erreur d'un quinquennat fini.
    Via l'océan profond vint un homme inspiré.
    De sombre aspect il eut des accents susurrés.
    Derrière lui, bien caché, s'en venait un roué
    Qui lui dictait ses mots de malice chargés.
    Lui, de belle prestance, il montrait que son âge
    N'avait point tout-à-fait buriné son visage.
    Comme des fils de nuit descendaient vers son corps,
    Sans doute pour mouvoir de ses traits le décor.
    Une voix entonna le Veni creator,
    Des fracas de squelettes tambourinèrent alors.
    De cette bacchanale insensée s'éleva
    Un rythme lourd d'effroi sonnant comme le glas.
    Les fils le conduisirent devant les lourds battants
    D'un Élysée gisant, silencieux et mourant.
    D'un pied leste il frappa sur le sol de pavés,
    Les battants s'entrouvrirent pour le laisser passer.
    Le sombre le plus noir sur le monde s'étendit,
    Et plus jamais le jour ne vint chasser la nuit.

    (d'après Racine, Athalie, acte II, scène 5)

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  2. La France n'a plus de président, elle bénéficie désormais d'un proconsul zélé, très zélé, de la City de Londres. C'est l'annexion pure et simple, aux accents des pompeuses fanfares anglo-saxonnes.

    Déjà notre pays a été et continue de plus en plus à être attaqué dans sa langue, dans sa culture, dans ses principes les plus fondamentaux. Le reste arrive, et il ne restera plus qu'un territoire évasif, où se multiplient pollutions gravissimes, écroulements de transports et ruines industrielles.

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  3. Pourquoi s'en remettre à une puissance extérieure? C'est au peuple de s'en sortir.

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    1. Salut Des Pas.

      "S'en remettre... ? " Certes, seul le peuple peut faire quelque chose, puisque c'est justement une puissance extérieure (la finance anglo-saxonne) qui nous a envahis. Là-dessus ce n'est pas le président de la Russie qui y peut quelque chose. En revanche, si le peuple se soulève, il pourra compter sur un allié.

      Seul problème : quand le peuple aura-t-il compris à quel point il a été manipulé ? Il est déjà bien tard. Ceux qui ont fêté la victoire de leur bourreau hier ont du chemin à faire dans leur tête pour simplement commencer à appréhender l'étendue de leur erreur.

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