Place Beauvau - jardin |
Il semble que, d'une façon générale, la désinformation dans notre pays ait atteint un sommet depuis quelques années, et en particulier depuis 2002. On a l'Intérieur qu'on peut ! Parfois, il faudrait se purger...
Plus grave, cette désinformation s'est constitué des cibles : la défense (sous forme la plupart du temps de virulentes attaques) d'un État aux frontières indécises, à la législation peu précise sur le rôle des institutions, et l'application de celles-ci aux citoyens de façon égalitaire ; à l'agressivité contestable ; à l'attachement aux lois internationales inexistant.
Ou encore, le rôle de ressortissants d'autres États ou de leurs descendants dans la prospérité du pays. Sont montrés du doigt les vrais utiles, alors que les nuisibles, il faudrait les chercher plutôt du côté des prescripteurs, précisément.
Ou bien encore, la part des simples citoyens, soit en tant que "consommateurs", soit au niveau de leur rapport au travail, dans la désorganisation systématique des finances, de l'économie, des services publics de notre pays. Très bien notés par des instances internationales, ils sont fustigés par un gouvernement qui reporte sur eux ses propres incuries, ses propres bassesses, ses propres incompétences parfois volontaires.
Plus grave, cette désinformation s'est constitué des cibles : la défense (sous forme la plupart du temps de virulentes attaques) d'un État aux frontières indécises, à la législation peu précise sur le rôle des institutions, et l'application de celles-ci aux citoyens de façon égalitaire ; à l'agressivité contestable ; à l'attachement aux lois internationales inexistant.
Ou encore, le rôle de ressortissants d'autres États ou de leurs descendants dans la prospérité du pays. Sont montrés du doigt les vrais utiles, alors que les nuisibles, il faudrait les chercher plutôt du côté des prescripteurs, précisément.
Ou bien encore, la part des simples citoyens, soit en tant que "consommateurs", soit au niveau de leur rapport au travail, dans la désorganisation systématique des finances, de l'économie, des services publics de notre pays. Très bien notés par des instances internationales, ils sont fustigés par un gouvernement qui reporte sur eux ses propres incuries, ses propres bassesses, ses propres incompétences parfois volontaires.
Il faudra ajouter à cela la façon dont certains gouvernements étrangers sont mis plus bas que terre, en soutien à une politique "Occidentale" ayant pour but d'annexer économiquement et politiquement des nœuds importants de la planète. A l'exemple d'un gouvernement étatsunien devenu "expert" dans l'utilisation du mensonge (il faut bien employer le terme), la "diplomatie" au plus haut niveau, court-circuitant de façon malheureuse les vrais diplomates, se laisse aller à démolir des chefs d'États pour la seule vraie raison qu'ils ne sont pas à plat ventre devant la toute-puissance de l'OTAN et de ses Grandes Compagnies. En revanche, des pays aux mœurs et aux politiques plus que sombres, tels que l'Arabie saoudite, ne sont jamais inquiétés.
A l'avenir, il sera essentiel de redonner leurs lettres de noblesse à notre diplomatie, au respect des citoyens dans leur intégrité en cessant de les tromper, à l'éducation dans les principes républicains de nos enfants. En corollaire, ceux qui tiennent le haut du pavé partout devront être discrètement (ou non selon ce qu'ils auront fait) amenés à n'avoir plus du tout d'influence sur la vie publique. Qui sait, peut-être assisterons-nous, dans un sursaut républicain, à un procès du siècle où seraient impliquées des centaines de personnes, dont un ex-chef d'État. Rêvons.
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