Rechercher dans ce blog
dimanche 26 juin 2011
Vie de femme
Nous étions, tous les deux, comme doigts de la main,
Chaque jour, chaque nuit, sans penser à demain.
Ton sourire, parfois, illuminait ma vie,
Mais souvent ton regard était, de douleur, flétri.
De ton lit résonnaient les appels déchirants
Pendant que, tristement, me parlaient les enfants.
Leur soleil enchantait malgré tout nos journées,
Et grâce à eux, sans doute, avançaient les années.
Doucement, ton étoile éclairait l'avenir,
Et quand je te massais, s'étalait ton sourire.
De projets ton esprit débordait sans flancher,
Toutes joies, toutes peines à leur place avançaient,
Du passé douloureux les limites traçais,
Et un jour, accomplie, ta vie s'en est allée,
BO
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Merci Babelouest !
RépondreSupprimer