dimanche 26 juin 2011

L'Europe en chantant

Rigolons, avec Fondapol, sur une Europe qui nous tue en rigolant.....commission europeenne
L'Union Européenne avant 1970 pouvait présenter un intérêt. Grâce à Pompidou, les mercantiles britanniques, dotés de leur Commonwealth, y sont entrés et ont tout démoli.

On peut garder l'euro, en tant que monnaie commune, mais non monnaie unique. Les échanges, en particulier inter-pays, peuvent continuer à se négocier en euros, mais les comptes seraient en francs. Un simple dispatching journalier (message automatique de la Banque de France) ajusterait les paiements et les comptes, la monnaie de notre pays (en francs, ou autres) serait à nouveau indépendante. Pas besoin de changer de billets, bien qu'ils soient, volontairement sans doute, si moches. Plus d'obligations envers les régulations européennes, plus d'intérêts à payer indûment à des créanciers privés. Solution drastique, sujette à des couinements de la part des banksters frustrés, mais efficace.

La France n'a pas particulièrement à payer pour les autres, dans la mesure où il faut savoir à qui l'on doit de l'argent (ou la monnaie de singe qui en tient lieu). Ces dettes sont fictives, les intérêts qui y sont attachés aussi. Donc, rembourser le capital, et bonsoir Clara. Éventuellement même, exiger le remboursement du trop-perçu au-delà de ce capital. Répétons-le : les intérêts, ce n'est que de l'argent fictif inventé par les banques.

L'Europe est une belle idée en tant que telle, si elle est d'abord un projet politique, culturel, d'échange, dans le respect des différences de mentalités qui font notre richesse. L'économique, qui fut le seul moteur jusqu'à présent, doit perdre complètement sa préséance, et redevenir ce qu'elle fut autrefois, un simple outil parmi d'autres. Quant au financier, perversion des perversions, il doit être très étroitement ligoté pour n'être plus qu'un rouage mineur de l'économique. C'est dire le chemin à parcourir !

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