communiqué de presse BVA
La langue française : une composante majeure de l’identité française pour 9 Français sur 10
Les
trois quarts des interviewés (75%) considèrent que la langue française
est en premier lieu une composante majeure de l’identité française, devant
une langue largement enseignée et parlée dans le monde (16%). Une
proportion qui monte même jusqu’à 89% au global (citations en 1er + en 2ème).
De multiples menaces semblent pourtant peser sur le français, et notamment la dégradation de son enseignement
74% des Français estiment que la dégradation de l’enseignement du français est aujourd’hui la première menace pesant sur la langue.
Dès lors, rien d’étonnant à ce qu’une même proportion de Français (72%) pensent qu’il est avant tout prioritaire d’améliorer l’enseignement du français dans l’éducation nationale afin que la langue française se porte mieux.
Au
global, les répondants sont assez partagés quant à ce qui pourrait
menacer le français, puisque 60% estiment que les médias et la publicité
font la part belle à l’anglais quand 51% considèrent que les dirigeants
politiques ne prennent pas les mesures suffisantes pour éviter les
atteintes répétées à notre langue.
Sept personnes sur dix disent être prêtes à agir pour la langue française
70% des personnes interrogées seraient prêtes à agir pour leur langue, et plus particulièrement les seniors de 65 ans et plus (78%).
Plus
précisément, une courte majorité (51%) pourrait confier à un organisme
accrédité une délégation de pouvoirs lui permettant, en son nom,
d’intervenir lors d’abus préjudiciables à leur langue ; une mission
portée par l’association Avenir de la langue française, officiellement agréée par les ministères de la Culture et de la Justice : www.avenir-langue-francaise.fr .
Demander aux
pays membres de l’OIF de montrer leur appartenance à la communauté
francophone : une initiative soutenue par 7 Français sur 10
Pour
plus de deux tiers des Français (69%), mettre en avant des signes
extérieurs marquant l’appartenance des 84 Etats et gouvernements membres
de l’OIF à la communauté francophone serait une bonne chose, notamment
en arborant le drapeau de la Francophonie.
Pour tenir le coup ensemble face à la guerre que nous livrent les boutiquiers anglo-saxons,notre langue est un élément majeur car elle est le génie de notre culture et de notre façon de penser. Il faut y ajouter la monnaie, celle que par des tours de passe-passe médiatiques et autres des politiciens esclaves des Grands Banquiers nous ont volée grâce au traité de Maastricht (ils ont "gagné" d'extrême justesse, sinon ils auraient recommencé).
RépondreSupprimerAussi longtemps que "les banquiers" n'auront pas eu leur hégémonie abattue, réduite à zéro, nous ne pourrons pas penser à revenir à un comportement social décent et responsable. La langue est un grand facteur de résistance, aidons-la pour nous aider.
Ce sondage a été financé par une des nombreuses associations de défense de la langue française, Avenir de la Langue Française, présidée par un ambassadeur, Monsieur Albert Salon. Au cours d'une réunion commune avec d'autres associations et groupements de défense, il nous a avoué avoir été le premier surpris par ces résultats, qui démontrent éloquemment que les Français, même jeunes, tiennent toujours beaucoup à leur langue.
RépondreSupprimerCe n'est pourtant pas faute de batailles continuelles, sur les affiches, les vitrines, dans les publicités dans la bouche des "journalistes" des Grands Media, et même dans les actions gouvernementales qui pèsent lourdement partout. L'Instruction Publique, devenue par déclinaison perverse Ministère de l'éducation, y est d'ailleurs contrainte de vive force par des "réformes" successives.
Nous ne cèderons pas. Nous continuerons à lutter. La Marseillaise a été écrite en français, l'Internationale aussi. UNION POUR LA LANGUE FRANÇAISE ! (oui, même la cédille est là, et bien là)