samedi 18 avril 2015

A BAS L'UNION EUROPÉENNE !

A BAS L'UNION EUROPÉENNE !
De toute façon, je ne cesse de le crier : le 29 mai 2005 au soir, nous en étions sortis, puisque le Peuple Souverain a refusé d'un coup tous les traités depuis l'origine, inclus dans le texte soumis au vote.

Ensuite.... ensuite il y a eu un coup d'État, et en 2008 des "représentants du peuple" qui n'avaient pas été élus dans cette optique ont fictivement entériné une mouture fort proche de la première sur le fond, ce qui n'engage en rien les citoyens. La perversité du système électoral français donnant la prééminence aux "Grands Partis", ceux qui ont le plus de pognon, fait que les mêmes ou presque sont toujours "élus" malgré une participation citoyenne en baisse sensible.
Depuis donc le 30 mai 2005 au matin nous sommes revenus dans une situation internationale antérieure au traité de Rome. Les diktats de Bruxelles, de Francfort ne nous concernent pas. Nous ne sommes plus dans l'OTAN, qui est le pendant militaire et tout aussi bruxellois du $¥$T€M€. L'OTAN est d'ailleurs l'ennemi du monde, donc de la France. Les deux pinces du chancre Washington ne nous concernent plus. Nous ne sommes plus endettés, puisque les dispositions financières obligeant l'État à n'emprunter qu'au secteur privé sont caduques. Si la loi 1973-7 a bien été appliquée, elle a aussi été abrogée par la loi n°93-980 du 4 août 1993. 
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Le drapeau dit "européen" non plus n'est pas licite : aussi bien la Grande-Bretagne que la France n'ont pas signé l'acceptation des symboles européens que sont ce drapeau et l'hymne à la joie. Ce drapeau est d'ailleurs un pied-de-nez à la laïcité, puisqu'il est un symbole "marial" explicite. 
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En tout cas la Constitution de 1958, même dans son écriture actuelle, est bien claire.

 
ARTICLE 2.
La langue de la République est le français.

L'emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge.

L'hymne national est « La Marseillaise ».

La devise de la République est « Liberté, Égalité, Fraternité ».

Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
ARTICLE 3.
La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum.

Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice.

Le suffrage peut être direct ou indirect dans les conditions prévues par la Constitution. Il est toujours universel, égal et secret.

Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux français majeurs des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et politiques.

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Oui, à bas l'union européenne, ce machin inventé par les vrais patrons de "l'Amérique", soit les banquiers privés grands actionnaires de cette banque privée qu'est le Federal Reserve System, qu'on appelle le plus souvent "la FED". Voir à ce propos ce que j'en ai écrit récemment.

A partir de cette sortie, rapide puisque nous n'avons rien à demander à personne, il sera possible de repartir sur des bases toutes différentes qui ne plairont certainement pas aux grandes fortunes, ni à leurs larbins. A chacun de nous, tous ceux qui ont compris les enjeux, d'expliquer, expliquer toujours combien un autre avenir est souhaitable. Je pense à tous ces malheureux, perdus et désespérés, qui en arrivent à voter pour le FN et ses Grands Bourgeois de patrons.

Debout, les amis, debout, il est temps. Le 29 mai nous commémorons la victoire du NON catégorique à nos tortionnaires. Profitons-en pour réaffirmer que ce NON est toujours valable, mais qu'il a seulement été bafoué. Renversons le coup d'État ! Tyrans, dégagez !

2 commentaires:

  1. Mais pourquoi vos potes de gauche vous taxent de fasciste?

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    1. Aujourd'hui il est très mal vu de détester cette aberration catastrophique qu'est l'union européenne. Donc ils amalgament le patriotisme (promotion des grandes idées républicaines qui ont fait le succès de la révolution française) et le nationalisme, ce repli sur soi maladif à la Le Pen. La France en tant que grande idée va à l'encontre d'une uniformisation par le bas où plus personne n'a le droit même de penser. C'est pourquoi les manifestations qui ne sont pas de simples promenades, flonflons et centrales syndicales en tête, se font taper dessus. Voire pire.

      C'est pourquoi aussi, pour éviter tout amalgame, faut-il aujourd'hui refuser de se dire "de gauche", mais en même temps continuer plus que jamais à défendre les classes dominées, voire opprimées. Eh oui, on n'est pas dans "leur norme'", donc les noms d'oiseaux fleurissent.

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