Rémi Fraisse est donc brutalement décédé, du tir dans son dos d'une grenade offensive (arme de guerre) . Une manifestation pacifique, mais déterminée et citoyenne, a été endeuillée par l'irruption d'une bande indéterminée et violente : bon prétexte pour les gendarmes mobiles pour charger à tout va. Si les circonstances sont similaires à celles de la manifestation à Nantes contre l'aéroport de Notre Dame des Landes, ce sont des casseurs sous faux drapeau qui pourraient avoir opéré, dont il est fort à craindre qu'ils aient été payés par l'Intérieur.
Grenades offensives, flashballs à tir tendu : légitimement, on peut désormais parler de guerre civile. Les gendarmes, censés protéger les honnêtes gens, ont été détournés de leur mission par des personnages publics félons : désormais ce sont les bons citoyens qu'ils sont chargés d'attaquer quel qu'en soit le prix. C'est la Terreur.
Désormais plus personne n'est à l'abri d'exactions sanglantes, et les chefs de bandes prennent leurs ordres au plus haut niveau de ce qui était encore naguère "l'État". Selon ce qui se dit dans la presse, le ministre n'aurait aucune intention de démissionner pour des ordres qu'il a sciemment donnés, appuyé par le premier ministre lui-même.
Désormais plus personne n'est à l'abri d'exactions sanglantes, et les chefs de bandes prennent leurs ordres au plus haut niveau de ce qui était encore naguère "l'État". Selon ce qui se dit dans la presse, le ministre n'aurait aucune intention de démissionner pour des ordres qu'il a sciemment donnés, appuyé par le premier ministre lui-même.
Il faut donc aller chercher les responsabilités au plus haut niveau de ce qui n'est plus guère la République. Les hommes publics sont bien plus prompts à défendre quelques industriels de l'agriculture, producteurs envers et contre tout de maïs, que d'assurer à long terme le bien-être des citoyens français. Toute cette clique, toute, devrait démissionner : l'Exécutif, le Palais Bourbon, les Corps Constitués à l'éthique douteuse, les Très Hauts Fonctionnaires, préfets, inspecteurs des Finances hors cadre, etc. Et j'en passe. Tous mis hors jeu.
Il va désormais falloir proclamer une Nouvelle République, avec rien que des femmes et des hommes nouveaux. Une République où les élus et les nommés par ceux-ci doivent rendre des comptes aux citoyens tous les ans, voire plus fréquemment encore en fonction des circonstances.
Il est évident que cette République-là ne suivra en rien les édits et diktats de Bruxelles, donc de Washington, Londres et New York. Citoyens, debout, il est temps.
Salut Jean-Claude. La forme ? Pile-poil. Lien dans ma bafouille, puisqu'elle tourne sur le sujet.
RépondreSupprimerImpec ! (rponse maintenant, les enfants étaient là)
SupprimerSalut Bab...
RépondreSupprimerBien pensé et bien dit !
Merci !
SupprimerReste a savoir comment mettre en place cette nouvelle République. L'idéal serait de la faire "à côté" de manière virtuelle (plus difficile a bombarder) ce qui permettrait de commencer tout de suite sans attendre que les autres rendent les clés. Si le projet plait et que de nombreux nouveaux citoyens la rejoignent, le basculement pourra même se faire en douceur ;)
RépondreSupprimerDémissions en bloc ! stratégie de montée en tension orchestrée par les forces de l’ordre
RépondreSupprimerLe Premier Sinistre en est bien contrit, bien confit : hier, à l'arc, et à la télé, il avait une petite mine, il bascule.
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