L'Autorité de régulation japonaise et d'autres experts vont porter la discussion lundi pour savoir s'il existe une autre faille active sous la centrale nucléaire de Tsuruga, dans la préfecture de Fukui. Celle-ci est la seule au Japon où il est avéré qu'existe une faille active dans ses soubassements. Si une autre faille est décelée sous les réacteurs, la centrale ne sera pas autorisée à redémarrer.Kunihiko Shimazaki de l'Autorité de Régulation officielle et quatre scientifiques ont observé la centrale sur la côte est, les un et deux décembre. Ils ont conduit une surveillance de coupe en creusant le sol sous les installations pour examiner la Faille Urasoko et celles qui en découlent. Ils ont confirmé son statut de faille active. Ils ont également découvert des déformations de strates près d'une autre faille appelée D-1, qui court directement sous le réacteur N°2.Shimazaki annonce que son équipe partageait la vue selon laquelle la déformation était causée par une force similaire à celle qui agite la Faille Urasoko.Les réglements gouvernementaux interdisent de construire un bâtiment de service nucléaire sur une faille active. La réunion de lundi va mettre l'accent sur le possible démantèlement du réacteur N°2. Tout dépendra de la décision commune prise par l'autorité de régulation nucléaire et les experts.
(traduction perso, avec les coquilles et approximations habituelles)
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