dimanche 19 février 2012

Appel aux forces de défense de la Nation


Militaires, gendarmes, policiers !

De plus en plus souvent aujourd'hui, c'est pour de simples questions de survie, d'emploi pour vivre, que vous avez signé un engagement dans nos forces de maintien de l'ordre républicain. Ce mot est important. Vous êtes, contre des assauts impromptus, multiples, le plus souvent imprévisibles, les garants de la paix dans notre pays. Votre rôle est d'assurer aux autres citoyens, les citoyens ordinaires, la possibilité de vaquer à leurs tâches quotidiennes et multiples : c'est ainsi que fonctionne la nation, c'est ainsi que chacun peut trouver satisfaction en harmonie avec le Corps entier, avec ses voisins, avec l'Avenir. Le plus efficace est bien entendu de faire en sorte que les dérives soient canalisées, en aidant avant que ne naissent des troubles des français plus jeunes, plus ignorants ou plus vulnérables à parvenir à une vie meilleure dans la communauté nationale.

Depuis un certain nombre d'années, des politiciens se sont mis en tête de considérer que VOUS n'êtes plus au service de la Nation, comme l'étaient les soldats de l'An II ou les Résistants de la seconde guerre mondiale, mais à LEUR service. C'est là qu'intervient un dilemme : vos chefs, généraux, amiraux, ont-ils conscience de la dérive ? Aujourd'hui vous notez que chaque déplacement du chef de l'État, qui est comme vous et moi au service de la Nation (j'ai fait mon service militaire, autrefois), accapare un énorme déplacement de troupes diverses pour satisfaire à SA volonté propre, pour simplement ne pas avoir à entendre des citoyens pleinement responsables de ce mot venir lui dire qu'ils ne sont pas d'accord avec sa politique. Disciplinés, jusqu'à présent vous n'avez rien dit, et avez obéi.

Demain, il est à craindre que vous ne soyez amenés à tirer sur ces citoyens, comme certaines troupes ont massacré des milliers de citoyens qui n'avaient pas l'heur de plaire au sieur Thiers, il y a 141 ans. Acquiescerez-vous à ces ordres assassins ? Accepterez-vous de tirer "sur vos fils, vos compagnes" s'ils ont le courage de braver un tyran ?

Souvenez-vous combien de vos prédécesseurs ont osé entrer en résistance, au point de contribuer spectaculairement à la libération de Paris en 1944. Pourquoi ? Ils savaient que leur devoir était non envers quelques politicards provisoirement investis de pouvoirs qu'ils avaient outrepassé allègrement, mais envers la Nation tout entière : celle-ci ne saurait supporter un joug imposé de l'étranger. En cela, ils ont su prendre le même parti que "de misérables étrangers", qu'on appelait les FTP-MOI, étrangers si misérables qu'ils ont pris les armes pour défendre la France éternelle.

Le 21 février 1944, il y a tout juste 68 ans, ces "étrangers" sont morts pour la France.

Militaires, gendarmes, policiers !

Aujourd'hui, et à nouveau, l'ennemi est là, il envahit, il a disposé ses cohortes, ses pions sont partout dans les rouages de l'État. Ce n'est pas un ennemi identifié par des frontières, par un hymne national. Tout au plus a-t-il un étendard, sur lequel flotte un slogan "In God We Trust".



Cet ennemi, c'est le Pouvoir de l'Argent. Un Argent-Roi, un Argent-Dieu. Mais les sommités de l'État, par une perversion maligne, en sont les vassaux. Le locataire de l'Élysée n'en est plus que le satrape local, un proconsul, que des "représentants du peuple" ne représentant plus que les Partis qui les ont mis en place soutiennent de leurs votes de lois de plus en plus répressives pour les honnêtes citoyens (pas pour les autres).

Injure suprême, une force étrangère, quasi secrète, est prête à se mettre en action comme on le voit actuellement en Grèce.


Militaires, gendarmes, policiers !

Il s'agit là d'une invasion d'un nouveau genre. Accepterez-vous qu'à nouveau soit bafoué notre sol, que des suppôts d'une puissance étrangère envahissent nos villes pour y appliquer LEUR ordre ? Je vous rappelle qu'en vertu du traité de Lisbonne ces hommes venus d'ailleurs ont le droit de tirer sur les citoyens. De tirer pour tuer. Si ce n'est pas la guerre, cela en a tous les relents.

Allez-vous rester sans réagir ? LA PATRIE EST EN DANGER .

1 commentaire:

  1. Comme c'est d'actualité ! Comme c'est intelligent ! Merci ! Merci en notre nom à nous TOUS ! Tous, face aux 0,0001 % ! Eva

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