Le 23/04/2010, mais surtout le 23/04/1965
A l'aube du dernier jour
La trompette a sonné dans le dernier matin.
Un murmure a couru sur la terre endormie.
Dans leurs trous les squelettes ont gémi à la fin.
Là-bas, vers l'orient, la nuée endormie
Se déchire soudain, et dans un grand fracas
Une main sort de terre, en soulevant un chêne,
Et un pied se fait jour dans un tas de gravats,
Et la jambe le suit, bousculant la fontaine.
La Mort épouvantée cache entre ses deux bras
Sa hideuse figure, que creusent les orbites.
Les scorpions, les crapauds, les serpents, les cobras
S'enfuient de tous côtés, loin des lieux qu'elle habite
Et le Fils de l'Homme vient.
Oui je comprend,il y a un coté angoissant qui nous dépasse.
RépondreSupprimerJ' aime et j'ai peur
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